Si c'est sur sa tête que des cordes tombaient
Alors c'est ma gorge qui en était noué
Si c'était son tour que l'on avait sauté
Alors c'est moi qui me trouvais à chuter
Si c'était sa parole qu'on avait coupé
Alors c'est de mes veines que le sang coulait
Et si c'était ses yeux qui me regardaient
Alors je plongeais, alors je me noyais
Le jour hélas, où, elle devra s'en aller
Alors mon coeur se retrouvera arrêté
Mais comme une mandarine sans ses pépins
Je ne me souviens que de son goût sucré
Alors, c'est ainsi que sans aucun regret
Je peux accepter, mon tout nouveau destin