En attendant que le site de la SNCF recherche des places disponibles, aujourd'hui 28 octobre j'ai eu ça :
Quand la France sera redevenue libre, et la SNCF un service public, on évitera, à chaque ouverture du site de ladite société, la désagréable impression d'entrer dans un casino où tout peut arriver (hier c'était un tube de Maria Carey qui s'est déclenché automatiquement - radio SNCF ça s'appelle). La tarification devient aléatoire, demander le prix d'un ticket s'apparente à de la roulette (russe), mais au moins Bruxelles est content.
Pas nous. Stop !