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L’affaire de la finale de la Coupe du Cameroun de football
Écrit par Le Jour
Jeudi, 28 Octobre 2010 17:40
’éêàééééééîàééééàé
Hier, le club s'est dit prêt à disputer la compétition programmée pour dimanche prochain.
Fovu de Baham prépare le match
L'équipe a effectué deux séances d'entraînement hier à Bafoussam.
La liste des joueurs de Fovu de Baham devant jouer la finale de la coupe du Cameroun, a été expédiée à Yaoundé mercredi le 27 octobre 2010. Le directeur administratif de Fovu de Baham, confirme avoir
reçu, à travers l'adresse électronique du club, mardi soir, deux courriers. Le second leur demandait de fournir la liste de tous les joueurs de l'équipe devant prendre part à la finale de la Coupe du Cameroun, ainsi que les détails nécessaires pour l'établissement de leurs badges.
Cette note faisait suite à une première signée du président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Mohammed Iya, qui invitait l'équipe de Baham à prendre part à la finale, sous réserve du fait que leur dossier serait réétudié ultérieurement par le comité exécutif de la Fécafoot.
Le directeur administratif du club, Joseph Ouahouo Tama, est allé à Yaoundé pour répondre à une invitation des élites du département des Hauts Plateaux, le ministre Maurice Kamto et l'ex ministre d'Etat Augustin Kontchou, notamment. Ceux-ci tiennent, selon des sources proches de la direction administrative de Fovu de Baham, à la participation de leur équipe à la finale de la Coupe du Cameroun. La seule condition qui aurait été soumise par le club pour l'instant, c'est que le coach Joseph Atangana, suspendu, puisse prendre place au banc de touche.
Des entraînements intensifs
L'intensité avec laquelle les entraînements ont été effectués ce mercredi, laisse croire que la finale de la coupe du Cameroun se jouera finalement avec Fovu de Baham. L'autre signe perceptible, c'est la présence, au grand complet, des joueurs lors des deux séances d'hier. Clevis Ashu, qui selon des sources internes de Fovu, s'est engagé avec Coton sport de Garoua pour la prochaine saison, et Ngouyap, qui était allé chercher fortune ailleurs, sont revenus et ont pris part aux séances d'entraînement aux côtés du capitaine Meuteing, lui aussi invisible les jours précédents.
En matinée, de 7h à 9 h, l'accent a été mis sur le physique et les passes, tandis que dans l'après-midi de 14h 16h30min, on a assisté à un match, qui a opposé les potentiels titulaires aux remplaçants.
L'entraîneur principal de Fovu club de Baham parle des soubresauts que traverse son équipe.
Comment est ce que Fovu prépare cette finale de la coupe du Cameroun qui est annoncée comme imminente ?
Disons que c'est la dernière ligne droite. On est à quatre jours de la finale, mais avant cela, on a eu quatre mois de préparation, ça c'est de l'inédit. On a fait un programme en se disant que peut-être la finale va se jouer dans un mois, et on a mis sur pied un planning de travail, on était obligé de le reporter à chaque mois. On est resté pratiquement dans la phase précompétitive tout en introduisant à l'intérieur des matchs test, parce que quand une équipe ne fait pas de compétition et qu'elle ne joue pas de match, elle manque de rythme. Maintenant qu'on est arrivé à la dernière ligne droite, où l'objectif est déjà là, à savoir affronter Les Astres de Douala, nous allons effectivement entrer en stage bloqué interne à partir de demain. Cela allait se faire ce soir, mais les dispositions administratives n'ont pas été prises, donc ce sera fait à partir de demain.
Y a t-il des inquiétudes dans le camp de Fovu club de Baham à ce jour ?La seule inquiétude est celle de savoir comment les joueurs vont réagir, comment ils vont gérer ce stress parce que contrairement à Astres qui est serein dans sa tête, nous on a quand même connu des soubresauts. Jouera, jouera pas? L'histoire de relégation, tout ça a joué dans notre préparation. Donc, si nos joueurs arrivent à digérer ça, je crois qu'on va produire un beau spectacle.
Parlant de l'affaire des trois points qui entraîne la relégation, vous ne vous êtes pas jusqu'à ce jour prononcé...
Je crois que dans cette histoire, je suis le plus concerné. Comme je l'ai dit dans une radio, c'est une sanction qui sort de la planète mars. On ne peut pas sanctionner un entraîneur sur des faits commis par l'administration du club, parce que c'est l'administration qui établit les licences. Et encore que là, il faut savoir si l'administration est vraiment fautive. Les joueurs viennent d'horizons divers avec leurs papiers et la Fédération camerounaise de Football qui a fait ces licences doit aussi se poser des questions. Quant à ma suspension, je crois que le club se bat jusqu'à ce jour pour qu'on puisse me rétablir dans mes droits. Une fois que j'ai abordé les gens à la Fédé, ils m'ont dit, bon écoute, reste tranquille on va lever ta suspension, c'est pour cela que vous ne m'entendez pas tempêter. J'essaie de suivre la voie de la sagesse, à savoir que je reste tranquille. Mais, on a posé aussi comme préalable qu'on me laisse diriger la finale sur le banc. Parce que le président Iya nous a écrit et on lui a demandé qu'il me laisse diriger la Coupe du Cameroun au banc de touche. Jusqu'à présent, on reste dans l'attente de la réaction de la fédération par rapport à mon problème.
Bien avant cette négociation, on ne vous a pas vu en colère, vous avez continué à inviter les joueurs, même les plus démotivés, à prendre part aux entraînements
Non, je suis un entraîneur aguerri avec plus de 18 ans dans le métier d'entraîneur à un haut niveau. Donc, pour moi, même si on me donnait 10 ans de suspension et qu'au niveau de l'équipe on me fait confiance, on me dit tu peux travailler, je travaille. Le plus important c'est l'entraînement. Maintenant, sur le terrain, il y a des gens qui peuvent manager. Je l'ai fait pendant 5 matchs au téléphone et on a gagné tous les 5 matchs. Donc je crois que l'administration du club a compris que dans cette logique on peut toujours continuer et gagner.
Et pour revenir à cette affaire, quel est le sentiment qui vous anime en tant que professionnel du domaine du Football?
Je l'ai toujours dit, je suis très déçu. Je crois que c'est une machination des gens qui sont tapis dans l'ombre et qui veulent gacherer ma carrière d'entraîneur. On veut m'utiliser pour noyer le club Fovu. Malheureusement pour eux, ils ont mal choisi les arguments pour étayer leur sanction. À aucun niveau, ils n'ont des arguments solides. Dans un premier temps, on dit que j'ai amené le joueur et que je l'ai aidé à falsifier son nom. Ce qui est déjà faux. Je suis arrivé à la 19e journée, le joueur était déjà enregistré. Et maintenant, quand ils reprennent la décision, et qu'ils disent que je connaissais le gars, parce que je l'avais entraîné avant, j'ai dit à la fédé d'aller voir toutes les feuilles de match de Vogt en 2e division, ils les ont, ils ont fouillé, ils n'ont pas retrouvé le nom d'Atangana Joseph sur une seule feuille de match. Donc cette allégation-là, une fois de plus, elle est battue en brèche. Maintenant, quand on me suspend, je crois que c'est parce qu'il fallait trouver un bouc émissaire pour justifier la raison pour laquelle on enlève à Fovu trois points. Ils ont cité des articles qui se contredisent, parce que l'article 157 alinéa 3, qui a été cité, dit bien que le club pénalisé perd trois points, mais le club adverse ne bénéficie pas de ces points. En plus, il y a l'article 149, alinéa 1 du code de disciplinaire, qui dit qu'on ne saurait aggraver une peine au détriment de celui qui l'attaque. Or, Fovu a attaqué la première décision et on l'a aggravée en suspendant l'entraîneur de Fovu. Vous voyez donc qu'il y a plein de contradictions là dedans. Je crois que ces gens-là, au bout du rouleau, si c'est des hommes conscients, ils doivent se remettre en cause. Comme le président Iya nous a écrit une lettre pour dire que le problème Fovu sera revu par le bureau exécutif après la finale de la coupe du Cameroun, nous osons croire que c'est un homme de parole qui tiendra sa parole et qu'enfin, le droit sera dit.
Sur le plan sportif, on prépare la finale avec beaucoup de sérénité. Déjà, tous les anciens ont repris depuis pratiquement deux mois et puis, avec l'apport des nouveaux, on a fait une double préparation, ce qui fait qu'aujourd'hui, nous sommes fin prêts pour cette finale tant attendue. Bien sûr, il y a eu des blessés, mais le docteur a fait son travail, avec les petits bobos qu'il y a actuellement de part et d'autre, on peut jouer, puisqu'on n'enregistre pas de cas de maladie. Tout se passe très bien en général. Nous préparons bien la finale. En ce qui me concerne, en tant que capitaine, je fais tout pour prendre le pouls des entraînements tous les jours, de voir comment les gars se comportent, surtout psychologiquement, je pense que le moral y est et que les gars sont prêts. C'est vrai que les problèmes administratifs restent les problèmes administratifs, s'il faut que Fovu joue la 1ere ou la 2e division, ce sont là des problèmes administratifs. Pour l'instant, sur le plan du jeu, on est concentré sur la finale. Le coach nous donne tout ce qu'il faut pour qu'on puisse remporter cette finale.
Yaoundé : Le stade Omnisports n'est pas prêt Quelques ouvriers peignent, soudent, tondent depuis cette semaine, sans véritables moyens financiers.Le stade Omnisports de Yaoundé n'est pas encore prêt pour accueillir la finale de la Coupe du Cameroun qui, selon Michel Zoah, le ministre des Sports, devrait se jouer dimanche prochain. L'observation a été faite hier sur les lieux : la piste d'athlétisme, sur laquelle se dérouleront les mouvements d'ensemble n'est pas totalement revêtue, la friche qui entoure le stade demeure, favorisée par les pluies de ces derniers jours.
On a aussi remarqué que la tribune présidentielle n'est pas encore terminée, alors que, d'après certaines sources au ministère des Sports, Bernard Obama, le directeur du stade, avait reçu l'ordre de «s'occuper spécialement de cette tribune ». Et que dire des tribunes « d'honneur », des tribunes A et B qui ne méritent pas le même soin ? Comme les « Virages Essos » et « Ngousso », le « Shaba 1 » et le «Shaba 2 », ces tribunes ne reçoivent aucun toilettage depuis le début des travaux entamés en début de semaine.
« Nous avons commencé le travail ce matin [hier, ndlr] et nous espérons l'achever avant samedi, pour que tout soit prêt le jour j », a déclaré hier, un ouvrier qui passait une couche de peinture sur la piste d'athlétisme. A quatre jours de l'échéance, une quarantaine d'ouvriers travaille pour que ce stade d'environ 38. 000 places assises accueille la finale de la Coupe du Cameroun dans un état reluisant.
Ici, on s'active à souder les barres de fer qui séparent les tribunes de l'aire de jeu et celles qui séparent la tribune présidentielle des autres ; là, on passe quelques coups de peinture sur les buts, alors qu'ailleurs, quelques agents d'entretien tondent la pelouse... Il y a une semaine encore, l'électrification du stade n'était pas correcte et ce n'est que cette semaine que ce problème a été résolu.
La direction du stade n'a eu la confirmation de la date de la finale que cette semaine. « Les difficultés ne manquent jamais, on fait face à un problème de moyens financiers. Tout le monde fait face à ces problèmes-là, mais le ministre a demandé au président de la commission des finances de tout faire pour nous soulager », affirme Bernard Obama.
Fecafoot : Fovu de Baham aurait pu être dissouteL'information est donnée par la cellule juridique de l'instance basée à Tsinga à Yaoundé.
L'affaire Fovu de Baham », comme il est convenu de l'appeler depuis la fin du dernier championnat Mtn elite one pourrait trouver un épilogue avant dimanche prochain. Mais en attendant, la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) aurait pu prendre des mesures sévères au cas où le club refusait de jouer la finale de la Coupe du Cameroun contre Astres de Douala. Si, selon Patrick Ebodé Tsanga, le chef de la cellule juridique, « la question des sanctions au cas où Fovu ne disputait pas la finale de la Coupe du Cameroun n'a pas été évoquée à la Fécafoot », il était cependant clair que des sanctions seraient prises si Fovu maintenait son boycott.
« Toutes les sanctions sont envisageables, absolument toutes. C'est-à-dire que ce club peut être exclu des compétitions de la Fédération, il peut être rétrogradé de plusieurs divisions, vraiment tout peut arriver », a indiqué Ebodé Tsanga. Une autre source à la cellule juridique nous fait savoir que la Commission juridique pourrait « prendre une sanction proportionnelle à la faute ». « La commission juridique décidera de ce qu'il y aura à faire et infligera toute sanction qu'elle juge utile. Ceci peut aller jusqu'à la dissolution du club », précise notre source.
Malgré toutes les sanctions énoncées par la cellule juridique de la Fécafoot, un vide juridique demeure, puisqu'une quelconque sanction prise contre le club de Baham n'aurait reposé sur aucun texte, comme l'indique Ebodé Tsanga lui-même.
Le mécène de Fovu et Astres a donné des sueurs froides à la Fédération camerounaise de football.
D'aucuns disent déjà que c'est la nouvelle terreur de Mohammed Iya, le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). Ceux-là pensent que Dieudonné Kamdem a fait trembler et plier le patron du football camerounais. L' homme d'affaires et ses partisans viennent de boucler ce qui pourrait être considéré comme le premier round d'un bras de fer avec la Fécafoot. Las d'avoir réclamé en vain la rétrocession des trois points retranchés à son club -ce qui signifierait pour Fovu le maintien en première division pour - il a décidé, il y a quelques semaines de "faire pression" sur la Fécafoot pour obtenir gain de cause. En menaçant d'empêcher Fovu de disputer la finale de la Coupe du Cameroun à laquelle elle est qualifiée.
Des informations font état de ce qu'il aurait emporté à l'étranger les licences de ses joueurs. Et suscité la solidarité des Astres Football Club de Douala, l'autre finaliste, lui aussi né de la passion de Dieudonné Kamdem pour le football. Autant de choses qui ont attiré l'attention en haut lieu. Au point où le ministre des Sports a dû jouer les médiateurs pour sauver une finale de Coupe du Cameroun qui semblait compromise.
Dieudonné Kamdem quitte les bancs de l'école dès le primaire. "Kam Matches" se lance dans le commerce des allumettes, point de départ de sa fortune. Il vend d'abord des bûchettes au marché de Pafé à Baham. Puis, il commercialise des boîtes entières, des cartouches et des cartons. Il quittera ensuite son Baham natal pour Bafoussam. Après y avoir été vendeur ambulant de cigarettes et d'allumettes, il met le cap sur Douala. Il ouvre dans la capitale économique la Société camerounaise de transformation de blé (Sctb). La Socapursel sera son autre bébé. Ses affaires sont florissantes. Les cigarettes Super King qu'il importe font un tabac sur le marché. Il va, plus tard, racheter les sociétés Sipca et Satom. Cet homme, qui emploie environ 500 personnes, va bientôt installer ses sociétés au Tchad et au Mali.
La passion qu'il a pour le football n'a jamais été démentie. Dieudonné Kamdem la concrétise en créant et en soutenant financièrement Fovu de Baham, puis Astres de Douala. L'histoire raconte que le notable "Nyap Ngoung" (le bâtisseur, le rassembleur) a eu envie à une époque de construire sur fonds propres un stade à Baham. Un stade que le chef supérieur Baham projettait de baptiser "Stade Dieudonné Kamdem". Mais lassé par l'hostilité de certains à cette initiative, il a renoncé à ce projet. L'édifice est aujourd'hui abandonné à Baham. Ce qui n'empêche pas l'industriel fou de foot de courir et d'entretenir sa forme à la place de l'Udeac, à Douala. Ni même de venir regarder en toute discrétion des matches de foot au stade de la Réunification.
Qu'est ce que vous voulez bien savoir sur ce joueur négatif ?» la question est posée au reporter du Jour par l'entraîneur Joseph Atangana, qui supervise les entraînements de Fovu de Baham. Jean Bosco Bilog, dont on veut avoir des nouvelles, est le joueur par qui la sanction qui a poussé Fovu de Baham en deuxième division est arrivée. Suspendu pour deux ans, on ne l'a pas revu du côté de Bafoussam depuis un moment. Certaines sources l'annoncent hors du Cameroun, om il serait allé à l'aventure. L'on apprend d'ailleurs qu'il avait déjà tenté pareille aventure à Chypre, d'où il a été refoulé, avant de rejoindre Fovu de Baham.
A la suite d'une rencontre du dernier championnat de Mtn Elite One, Renaissance de Ngoumou avait émis des réserves sur Jean Bosco Bilog, né le 29 mars 1992, qui serait plutôt Jean Blaise Bikatal, né le 29 mars 1983. Les parents du jeune homme auraient affirmé qu'il s'agissait d'une confusion et que Bilog et Bikatal étaient bien deux personnes différentes, deux frères en l'occurrence. Le joueur également a tenu le même discours à ses coéquipiers. «Avant de partir pour Yaoundé, il nous a réunis et nous a clamé son innocence», lance Martial Kout, le vice capitaine de de Fovu de Baham.
Sur la personnalité du joueur, Martial Kout reconnaît qu'il était un bon animateur dans les vestiaires. L'entraîneur Joseph Atangana, lui, déclare : «Je n'ai pas eu suffisamment de temps pour le connaître. Il est arrivé, m'a-t-on dit, à l'intersaison et je suis arrivé à la 19e journée. Jusqu'à la 23e journée, sous ma direction, il avait joué en partie 2 sur 4 rencontres».
Pour ce qui est de ses performances, Joseph Atangana présente Jean Bosco Bilog comme un joueur moyen, qui manquait régulièrement de fraîcheur physique pour aller au bout des 90 minutes d'un match et qui était en difficulté dans le jeu aérien. Ceci en raison de son poids, entre autre. Joseph Atangana, pourtant, affirme également que c'était «un bon milieu de terrain qui joue bien des deux pieds, qui sait quand tempérer ou accélérer le jeu. C'est un joueur un peu au dessus de la moyenne sur le plan technique.»
Pour Simon Nlend, l'un des entraîneurs adjoints de Fovu de Baham, qui reconnaît avoir adopté le jeune Bilog dès ses débuts dans l'équipe, «il ne s'énervait jamais et écoutait les reproches de tous d'un air respectueux». Bilog n'est pas là, il ne disputera certainement pas la finale de la Coupe du Cameroun 2010, mais il aura été l'un des grands acteurs de cet événement, ou plutôt des moments qui l'ont précédé.
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