Justin ou les bonheurs de l'incongru.
Une cover electro plastique, relecture copié collé grisante
La cover est un exercice de chirurgie plastique qui se distancie du remix qui n'est qu'un ravalement de façade. La cover mâtinée de kitscheries YouTube post (it) averty est un bonheur esthétique qui hypostasie le DIY. Voiklà donc des maniaques de la ligne 'audio) claire qui folâtrent à décortiquer ce vieux Justin (ou le bel était). La geek attitude, contrairement à ce que laisssent penser nos deux quidams vautrés sur un canapé, est une sur activité mentale de bidouilleurs maniaques. Dépiauter un morceau pour le repiauter dans un costume d'Arlequin, tout oscellé de copy and paste. C'est kiffant qui fend l'oreille et la vue. Second degré du minimalisme électro (ou trop peu). C'est chouette, quoi.
L'effet Domino, en somme :)
Les mêmes trublions ont aussi trucidé Bad Romance de Lady Gaga
avec un peu moins de bonheur.