En vrac

Publié le 28 octobre 2010 par Poclatelephage
Pour une fois, je trouve la semaine spéciale d'« un presque parfait », limite intéressante. Il s'agit en effet d'une compétition réservée aux experts de la cuisine, comprendre des blogueuses culinaires qui macaronnent plus vite que leur ombre. Petit bémol, ces grandes compétitrices, et l'homme de la semaine, un ex critique gastronomique, ont un peu tendance à cuisiner toutes la même chose, à savoir évidemment des macarons et des mets d'exception (homard, foie gras, langoustines, turbot...).
Autre point négatif, la compétition ne pouvait apparemment avoir lieu qu'à Paris, capitale de tout ce qui se fait de bien en France. Mais, sinon, j'adore cette ambiance faussement policée entre des filles qui se détestent et qui feraient tout pour écraser leurs concurrentes.

Hier soir, les épisodes du « Mentalist » étaient franchement ennuyeux, le ventre mou de la saison certainement, mais j'ai eu un petit frisson en visionnant le deuxième inédit qui mettait en scène une intrigue proche du fléaut fléau de Stephen King. Oui, je private-joke avec moi-même et mes « amis » Facebook, de bon matin.
Les fées du logis de M6 s'attaquaient pour une fois, fait rare, à l'intérieur d'une famille presque normale, dont la seule particularité était d'être vraiment crade. D'habitude, « c'est du propre » intervient chez des gens qui ont été apparemment victimes d'un accident de la vie ce qui explique leur laisser-aller, alors que là pas du tout. La famille plutôt friquée, car propriétaire d'un centre équestre, n'a simplement pas le temps de faire le ménage, ni de songer apparemment à recourir aux services d'une spécialiste de la discipline. Cet épisode se rapprochait donc plus du concept anglais original.

J'ai un conseil à livrer aux blogueurs amateurs qui lancent leur publication en ligne. Pour s'assurer une audience dès le début, il suffit d'évoquer dans un post la publicité pour Kinder mettant en scène un tennisman français de renom très gourmand et sa voisine vorace ou s'interroger sur la sexualité de Stéphane Plaza (un sujet sur lequel même les experts sèchent). De mon côté, j'ai une pensée émue pour JW Tsonga à chaque fois que je passe devant le bureau de tabac / maison de la presse voisin de la place du Capitole qui offre un Kinder Bueno pour deux achetés. Je songe à lui envoyer un courrier pour lui donner l'adresse de l'endroit, ce qui ne simplifiera toutefois pas ses relations avec sa voisine parce qu'il aura ainsi toujours des friandises en nombre impair.
Depuis que je l'ai entendue, j'ai cette chanson en tête. Je la trouve tout simplement magnifique. J'aime la musique, les paroles, sa voix alors que je n'étais pas vraiment fan d'elle (j'ai le droit de le dire ça ou pas ?) lors de son passage à « La Nouvelle Star ». En écoutant ce single, j'ai presque envie d'aller acheter son album, ce que ma femme avait promis de faire quand elle regardait sa saison. Il faut savoir que je n'ai jamais franchi le pas. Si je possède le premier album de Lara Fabian, je n'en ai aucun de gagnants ou de vainqueurs tardifs des émissions de télé-crochet. J'avais pourtant songé à acheter le deuxième opus de Nolwenn, le premier album du vainqueur de la quatrième édition de « la Nouvelle Star » dont je tairai désormais le nom à jamais, ou celui de Julien Doré, mais allez savoir pourquoi je n'ai jamais transformé l'essai, comme on dit chez moi. En revanche, j'ai téléchargé légalement le single d'Emma Daumas « j'suis conne » que j'adorais et « elle panique » d'Olivia Ruiz, qui ne compte presque pas dans cette catégorie.
Voilà, je vous mets la chanson pour le plaisir. Elle me rappelle un bon vieux tube de M'sieur Eddy pour vous dire...

J'en profite pour souligner que j'adore le nouveau single de Jennifer et qu'en général je ne sais pas pourquoi mais j'adore les singles de Jennifer, du coup je vais vous faire un petit panel de mes favoris.

(Rien n'égale « Donne moi le temps » dans mon coeur, depuis la saison 6 de la star academy.)