Pas de compte-rendu exhaustif ici de la FIAC ou des nombreuses (trop) foires off. On dénoncera peut-être la méthode Coué dont l'ensemble des média semblent s'être emparés : formidable édition ! Quelle fraîcheur à la FIAC ! Et blabla et blabla. Bon, la cour carrée fut de l'avis général des "connaisseurs" très très médiocre. Alors les médias ont singulièrement manqué de jugeotte.En revanche, du solide au Grand Palais. Les poids lourds étaient présents : au premier rang desquels Gagosian, fraîchement installé à Paris, rue de Ponthieu.
Bref, mes coups de coeur. L'arrivée de galeries japonaises. Mention spéciale à la galerie Taka Ishii.
Un photographe que j'ai trouvé exceptionnel : Daido Moriyama. Percutant. (galerie Ishii)
Un peintre, Johannes Kahrs. Excellent. (galerie Luhring Augustine).
Et un anti coup de coeur, l'infarctus : Bettina Rheims. Présentée par la galerie Jérôme de Noirmont. Totalement nul. Enfin nul, restons mesuré. De la bonne photo de mode sans doute mais qui ne résiste pas à la proximité des maîtres présentés sous la verrière. nm.