Une petite bulle pour vous aider sur le coup du lézard.
Il faut tout de même dire que la femme de Georges Frèche a attendu sa mort pour avouer que sa queue ne repoussait pas.
Hmm, je m’égare.
Alors voilà, je vous redonne quelques citations dudit Frèche. En allemand, « fresh » veut dire « insolent », ça lui va plutôt bien, voyez vous-mêmes :
« Salut, traître. Je vais te couper les couilles et tu ne t’en rendras même pas compte. » trouvé dans l’express.
« Dans ce monde de faux-culs, on ne peut pas dire ce que l’on pense. »
« Les Français n’éliront jamais un cocu. » (il parlait de M. Sarkozy)
Et la très célèbre et très connue :
En 2010, il reçoit le prix spécial du jury du Prix de l’humour politique pour avoir déclaré devant une assemblée d’étudiants : « Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des cons » (wikipedia)
Bon, là, je pense que vous devez trouver qui sont les lézards. D’ailleurs, j’ai un ancien copain, un RSAiste, qui est un parfait lézard, preuve qu’on a pas besoin d’être politique pour en être.
Une idée ?
Je ne pense pas qu’il soit mort vraiment. Il nous provoque, c’est sûr.