Sardine #11: Walter Dupuy est trop affectif!

Publié le 06 janvier 2008 par Caramelito


audio mp3 11'00

Bonjour chers auditrices et auditeurs de Oh la Radio ! Je vous présente mes meilleurs vœux, surtout de bonne santé. Prémunissez-vous contre les rhumes et les éternuements, et que l’année 2008 réponde à vos souhaits. Voilà –enfin- la nouvelle sardine. J’ai des tas d’excuses pour être en retard de tant de temps. Si vous saviez ! Cette semaine y a ma tante de Perpignan qu’est venue à la maison. Elle m’a offert une pompe à bière de salon (c’est sans doute pour les gens à qui on veut éviter d’aller au bistrot). Naturellement la pompe à bière était défectueuse, on a dû raller au supermarché (et y râler) pour échanger la pompe à bière contre l’équivalent en bottes de poireaux (après les fêtes c’était tout ce qui leur restait). Arrivé à la maison je me suis aperçu que les bottes de poireaux étaient pas bien à ma pointure, je les donnerai aux enfants, pourvu qu’ils grandissent. Et puis après, un matin, y a des mecs qu’ont sonné à la porte, et on a eu la faiblesse de leur ouvrir. En quelques dizaines de minutes, ils avaient installé tout un studio d’enregistrement dans mon salon et ils m’ont forcé à jouer de la guitare basse pendant trois jours. Jamais je n’avais vu autant de guitares, d’ordinateurs, de sono, etc.. réunis en un seul endroit, ça montait jusqu’au plafond. Mais le pire c’est que le chanteur avait apporté aussi le virus de la diarrhée, alors forcément comme on était confinés toute la journée dans une même pièce de trente mètres carrés, on a tous dû boire du Whisky-Smecta (je précise que je suis très riche mais que la pièce de trente mètres carrés c’est quand même pas les cabinets). Bref si mon enfance avait eu lieu cette semaine, elle aurait été malheureuse, et ça m’aurait fourni des tas de prétextes. Et par là-dessus j’ai changé de voiture, ce qui a eu pour conséquence de me plonger dans des difficultés sentimentales inattendues, que la présente Sardine va vous raconter.

Grosses Bises mes amours,

Votre dévoué Walter Dupuy