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Pas d'ouverture au dialogue «Je sens une rancune très forte dans le pays, violente dans l'expression verbale, je sens une colère, et celle-là elle demeurera, je sens une frustration de n'avoir rien obtenu», a déclaré François Hollande. Le député de Corrèze a affirmé que «le président de la République n'a jamais ouvert une discussion, ni avec les syndicats ni avec les formations politiques représentées au Parlement». Selon le député socialiste, «ce que nous avons à faire c'est de permettre que cette colère qui n'a pas pu trouver son résultat social, parlementaire, puisse trouver son résultat, sa traduction politique en 2012». François Hollande souligne que «la question des retraites n'est pas terminée au lendemain du vote» du projet de loi, qui doit avoir lieu mardi 26 au Sénat et mercredi 27 octobre à l'Assemblée nationale. >> Toutes nos propositions sur les retraites Une réforme des retraites temporaire François Hollande relève que «le gouvernement a fait voter un amendement ramenant à 2013 un rendez-vous pour une grande réforme systémique». Ainsi, «c'est un dossier qui va rester ouvert parce que la réforme des retraites, elle est injuste, mais en plus elle n'est pas financée», a-t-il évoqué. Selon le député de Corrèze, «il y aura de la part du prochain président de la République, du prochain gouvernement, de la prochaine majorité, à prendre des décisions en matière de retraites, d'assurance-maladie, de redressement des comptes publics».