Le bad boy le plus sexy (j’ai baptisé du même nom mon sextoy préféré) et le plus stylé que le rock ait jamais enfanté, Keith Richards, le chic & trash guitariste des Rolling Stones, s'est une fois de plus répandu à des endroits tout à fait inconvenants. Cette fois-ci, c’est dans son autobiographie, Life*, qu’il se lâche et se laisse aller à quelques confidences particulièrement croustillantes sur son amitié-rivalité avec le charismatique Mick Jagger.
Mais qu’on se le dise franco les zamis : entre le poète défoncé et misanthrope et le narcissique hystérique et ambitieux, mon cœur ne balance pas du tout et je suis toute prête à moucher ad vitam eternam le nez (ou toute autre protubérance molle) du premier et lui changer ses perf de Whisky sans glace sans rire, jusqu’à la fin de ses jours. Cette petite parenthèse faisant foi de ma parfaite objectivité sur le sujet refermée, voici les scoops que nous révèle le grand magazine d’investigation Voici :
1. Mick Jagger a un tout petit kiki. Si. Un « minizizi » pour être exacte. Donc, cherchez pas : le Kiki de tous les Kikis, c’est pas Micky !
2. Mick Jagger est très jaloux. M’enfin vue que c’est tout de même lui qui a piqué Anita à Keith, on peut légitimement se demander quel est le plus jaloux des deux…
3. Mick Jagger a le melon. Eh ouais ok super. Merci du scoop.
Bref, si l'on se fie à la subtile analyse littéraire du magazine people, Life de Keith Richard est un livre tout juste bon à caler l’étagère Billy de la chambre des lardons. Mais, si pour s’excuser de la platitude annoncée de ces mémorables mémoires d’amnésique, la maison d’édition nous gratifie de quelques belles photos du roi de la gratte, j’achète !
Alors je vous l’avais dit lez amis : Il y va fort le Keith ! Qu’est ce qu’il balance là ! Purée…
Message personnel : Je suis prête. Vas-y chéri ! Va pas gâcher un kleennex pour ça.
(Petite précision : je ne suis pas gérontophile mais un rockeur n’a pas d’âge, c'est tout.)
*Sortie le 26 octobre chez Robert Laffont
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