Avec son equivalent celebre "hello, motobike" representent l'environnement sonore du touriste a Phnom Penh, pas une journee sans entendre cela au moins cent fois.
Encore un nouveau pays et un passage de frontiere un peu plus complique que prevu. En effet, a Ha tien au Vietnam, nous avions choisi une formule qui nous amenait directement au centre de Phnom Penh en bus, mais tout ne c'est pas deroule comme cela. Du fait d'une heure de retard au depart, le bus qui devait nous conduire a la capitale cambodgienne etait deja parti lorsque nous avons passe la frontiere. Les gens de l'agence nous ont depose a une intersection ou nous avons attendu un mini bus local. Le trajet nous a finalement pris trois heures de plus avec le plaisir de se blottir a quinze dans une camionnette neuf places.
Grosse surprise pour Jeremy en arrivant a destination, depuis la premiere visite il y a sept ans, la ville s'est metamorphosee. Des routes bitumees, des magasins, des banques et de grosses stations services ont envahi la capitale.
Grosse chaleur sur la ville, mais les tuks tuks et les motos taxis permettent de se deplacer sans trop d'efforts et a moindre coup.
Silence et effroi au programme de la visite du musee du genocide dans l'ancienne prison S21 ; 20000 prisonniers sont passes entre ses murs, 7 ont survecu.
Beaucoup plus leger, nous avions choisi une chambre d'hotel dans une rue calme. Quelle surprise le lendemain quand a 6h00 du matin une musique traditionnelle relativement forte s'est faite entendre. Un chapiteau s'etait installe pendant la nuit et un mariage avec orchestre a debute pour trois jours de festivites... Nous avons bien entendu change de chambre.
Demain depart pour Siem Reap sur les traces d'Henry Mouhot.
Depart de Phu Quoc
Ha tien
Rizieres et mini bus
Encore des greves a la SNCF