Amusant prolongement de ma réflexion sur le trotskisme. Une nouvelle vague de résistance à la réforme des retraites se fait jour. Et il s’agit, curieusement, des étudiants, UNEF et SUD, en tête. Les bastions du trotskisme.
Question : le mouvement de résistance est-il planifié méthodiquement, ou correspond-il à une suite d’improvisations ?
Initialement, je penchais pour la seconde solution, mais maintenant je serais plutôt en faveur du premier. En effet, si mon hypothèse trotskiste est juste, pourquoi les étudiants se révolteraient-ils aussi tardivement, alors que ce sont les plus faciles à agiter ?