Brave Barbapapa… A 40 ans, le personnage dessiné par Talus Taylor occupe toujours une place de choix aux rayons jouets, chez les libraires et dans l’imaginaire des enfants.
Ce que l’on sait moins, c’est que la famille Barbapapa est, dans la littérature enfantine, une pionnière en matière d’écologie: dans les histoires signées Annette Tison, ces sympathiques personnages font face à la pollution des usines, refusent d’habiter en HLM, préférant se construire une maison dans la nature alimentée en énergies renouvelables, et vont même jusqu’à s’exiler sur une planète lointaine le temps d’un épisode, dépités par le comportement des humains vis-à-vis de la Terre… Barbapapa est sans conteste un héros écolo.
A l’occasion de la présentation par Jemini de peluches et produits pour enfants à l’image des Barbapapa (une gamme sous licence, licence gérée en France par TF1), l'Express a voulu en savoir plus sur la façon dont sont fabriqués ces produits: le processus est-il aussi responsable que peut l’être, dans les histoires, ce papa chewing-gum? L’occasion d’un échange nourri avec Thierry Bertoux, DG de Jemini.
Cette interview est disponible sur le blog de l'Express. N'hésitez pas à y apporter vos commentaires.
On y apprend que si Barbapapa vient de Chine .. ce n'est pas de sa faute! D'abord, il n'est pas si malheureux que ça! Jamais il n'a été choppé en train d'être fabriqué par un petit Chinois dans de mauvaises conditions de travail. Et puis, s'il est synthétique, de quoi se plaint il? Il est tout doux comme ça, et il a procuré du travail aux industries pétrolières. Et puis bon, il y a déjà tellement de normes que , hein, ça va quoi!
A vous de juger!