Si les formes de coaching sont multiples, il s’impose comme une évidence que chaque coach explore sa propre expérience humaine comme moyen de pleine réalisation.
Sociologie, psychologie, philosophie, théologie, sport, théâtre, art-thérapie, nutrition… il serait trop long d’énumérer les influences possibles du coaching.
C’est à ce titre que le coaching s’impose comme courant de pensée et d’action proprement « révolutionnaire » : via ce terme, nous revenons à un enseignement pleinement ouvert sur l’homme et son indéfinie possibilité.
L’approche propre au fullcoaching est l’analogie, la métaphore : solliciter le corps pour atteindre l’esprit : l’élan vital comme horizon, le corps comme procédure.
Les principes du fullcoaching explorent la nature complexe de l’homme par des exercices de décharge physique et de sophrologie (retour sur soi par la maîtrise du souffle) pour annuler les craintes, maîtriser les codes de la communication et tendre vers l’unité.
Le « bien-être », en somme. Avec « l’être » (le Dasein) au cœur de tout cela.
Tendre vers, sans cesse. Car ce qu’affirme le poète René Daumal pour l’action philosophique de Socrate définit parfaitement l’entreprise authentique du coaching: « recherche et moyen, et non aboutissement et fin ».