Le passage en ces lieux n'était pas un échec et tout compte fait j'ai plutôt apprécie Le Grand Hotel.
Lumières tamisées dans les couloirs déclenchées par le mouvement - d'où un sentiment de toute puissance. Idéalement placé pour fuir. Un boxer d'homme m'ayant précédé dans la chambre jeté négligemment sur le sol de la salle de bain - sexy. Diagonale de télé correcte.
On passe aux points moins satisfaisants : gelée, j'ai fait emplettes de collants chauds chez Tati - sexy. Ma curiosité architecturale s'est vite tarie - de la brique, la belle histoire. Orgie de bonbons - Lutti et Arlequin - pendant les réunions. Déjeuner au Campanile. Qui voudrait d'une vie professionnelle où les repas d'affaire se déroulent au Campanile ? En face d'un Formule 1 ?
Sinon, ils sont sympas mais pauvres (ça s'est confirmé).