Pour autant, l'Union française des industries pétrolières (UFIP) estime qu'une nouvelle dégradation ponctuelle est attendue lundi dans les stations-service françaises, du fait de l'approvisionnement ralenti dimanche par le repos obligatoire des chauffeurs de camions-citerne. "Du fait aussi qu'on a donné toute priorité aux autoroutes, le reste va souffrir un peu dans la journée de demain", précise le patron de l'UFIP, selon lequel "à partir de mardi, on va revenir au niveau où on était". "La bonne nouvelle, c'est qu'il y a eu extrêmement peu de problèmes sur les autoroutes pour les départs en vacances", a-t-il fait valoir. Les industriels de l'UFIP, regroupés avec les indépendants, exploitent le plus gros réseau de distribution de carburants de France, avec environ 7.600 stations-service sur un total de 12.300 pour tout le territoire. Dimanche, la situation restait inchangée, au deuxième jour des vacances scolaires de la Toussaint, les régions Ouest et Ile-de-France étant les plus touchées, a indiqué le ministère de l'Energie, sans toutefois fournir de chiffre global. "En Ile-de France, on avait 35% de stations à sec ou en manque d'au moins un produit, et dans l'Ouest, un petit tiers environ des stations qui posent de réelles difficultés", a indiqué une porte-parole du ministère. Sept départements (Eure, Calvados, Loire-Atlantique, Indre-et-Loire, Val-de-Marne, Oise et Allier) étaient toujours à court de carburant "même si la situation est un peu meilleure" dans l'Oise, a-t-elle ajouté. La veille le ministre de l'Energie, Jean-Louis Borloo, avait fait état d'à "peu près une pompe sur deux d'approvisionnées" dans ces départements. "Dans les zones Est, Sud-ouest, Nord et Sud, environ 10 et 15% des pompes sont à sec", a encore indiqué la porte-parole.
Les stations-service : 1 sur 4 à sec !Une station service sur quatre en France n'est pas approvisionnée, a déclaré dimanche Raymond Soubie, conseiller social de l'Elysée, sans préciser la répartition nationale de cette moyenne. "Il y a un problème logistique très difficile" pour approvisionner le carburant, a-t-il dit sur Europe 1. "Au moment où nous parlons, sur 350 stations service d'autoroute, vous en avez cinq qui sont privées de carburant", a cependant rassuré Raymond Soubie sur Europe 1. "La situation va s'améliorer très progressivement", a promis le conseiller aux affaires sociales de l'Elysée.
Pour autant, l'Union française des industries pétrolières (UFIP) estime qu'une nouvelle dégradation ponctuelle est attendue lundi dans les stations-service françaises, du fait de l'approvisionnement ralenti dimanche par le repos obligatoire des chauffeurs de camions-citerne. "Du fait aussi qu'on a donné toute priorité aux autoroutes, le reste va souffrir un peu dans la journée de demain", précise le patron de l'UFIP, selon lequel "à partir de mardi, on va revenir au niveau où on était". "La bonne nouvelle, c'est qu'il y a eu extrêmement peu de problèmes sur les autoroutes pour les départs en vacances", a-t-il fait valoir. Les industriels de l'UFIP, regroupés avec les indépendants, exploitent le plus gros réseau de distribution de carburants de France, avec environ 7.600 stations-service sur un total de 12.300 pour tout le territoire. Dimanche, la situation restait inchangée, au deuxième jour des vacances scolaires de la Toussaint, les régions Ouest et Ile-de-France étant les plus touchées, a indiqué le ministère de l'Energie, sans toutefois fournir de chiffre global. "En Ile-de France, on avait 35% de stations à sec ou en manque d'au moins un produit, et dans l'Ouest, un petit tiers environ des stations qui posent de réelles difficultés", a indiqué une porte-parole du ministère. Sept départements (Eure, Calvados, Loire-Atlantique, Indre-et-Loire, Val-de-Marne, Oise et Allier) étaient toujours à court de carburant "même si la situation est un peu meilleure" dans l'Oise, a-t-elle ajouté. La veille le ministre de l'Energie, Jean-Louis Borloo, avait fait état d'à "peu près une pompe sur deux d'approvisionnées" dans ces départements. "Dans les zones Est, Sud-ouest, Nord et Sud, environ 10 et 15% des pompes sont à sec", a encore indiqué la porte-parole.
Pour autant, l'Union française des industries pétrolières (UFIP) estime qu'une nouvelle dégradation ponctuelle est attendue lundi dans les stations-service françaises, du fait de l'approvisionnement ralenti dimanche par le repos obligatoire des chauffeurs de camions-citerne. "Du fait aussi qu'on a donné toute priorité aux autoroutes, le reste va souffrir un peu dans la journée de demain", précise le patron de l'UFIP, selon lequel "à partir de mardi, on va revenir au niveau où on était". "La bonne nouvelle, c'est qu'il y a eu extrêmement peu de problèmes sur les autoroutes pour les départs en vacances", a-t-il fait valoir. Les industriels de l'UFIP, regroupés avec les indépendants, exploitent le plus gros réseau de distribution de carburants de France, avec environ 7.600 stations-service sur un total de 12.300 pour tout le territoire. Dimanche, la situation restait inchangée, au deuxième jour des vacances scolaires de la Toussaint, les régions Ouest et Ile-de-France étant les plus touchées, a indiqué le ministère de l'Energie, sans toutefois fournir de chiffre global. "En Ile-de France, on avait 35% de stations à sec ou en manque d'au moins un produit, et dans l'Ouest, un petit tiers environ des stations qui posent de réelles difficultés", a indiqué une porte-parole du ministère. Sept départements (Eure, Calvados, Loire-Atlantique, Indre-et-Loire, Val-de-Marne, Oise et Allier) étaient toujours à court de carburant "même si la situation est un peu meilleure" dans l'Oise, a-t-elle ajouté. La veille le ministre de l'Energie, Jean-Louis Borloo, avait fait état d'à "peu près une pompe sur deux d'approvisionnées" dans ces départements. "Dans les zones Est, Sud-ouest, Nord et Sud, environ 10 et 15% des pompes sont à sec", a encore indiqué la porte-parole.