Pourtant, à cause de l’insécurité, les agents de l’État et les vétérinaires s’y rendent difficilement.Ici comme dans d’autres zones de la Casamance affectées par deux décennies de violence armée, les animaux ne sont pas soignés et les campagnes nationales de vaccination ne peuvent y avoir lieu.
Cela entraîne risques d’épidémies pour le bétail et manque à gagner pour les éleveurs.(Lire la suite)
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