Discussion artistique. Rendre heureux …

créer …  se rendre heureux …

Parfois …se réveiller autrement qu’un matin ordinaire et savoir au bout du compte que cette journée sera magnifique… fourmis partout….démangeaisons….impatiences…émotivités..créativités….. juste un instant ….et puis commence le bal des toiles silencieuses et le ballet des bras en mouvements …. Des couleurs en attentent   ….. Des soupirs  en  retenus….    Nathalie Stephan       Les oeuvres présentées sont protégées par les lois françaises du Code de la Propriété Intellectuelle, articles L-131 et L-122 du CPI (loi du 15 juillet 1992)
© Copyright Atelier STEPHAN Nathalie. Tous droits réservés.                 Exécution:  Grandes trames de papier lisse épais spécial peinture à l’ huile. Le papier est ensuite  encollé d’un enduit  spécial . Séché,lissé et poncé légèrement.  Les pigments dilués avec un glacis "mélange d huile de lin sicatif et une pointe d ‘essence de térébenthine"  apporteront une première base de teinte et de lumière.  Les couches délicates de couleurs seront posées succesivement à intervalle espacés permettant ainsi  le séchage de chacune des applications. Les formes et les empreintes apparaissent au séchage.  Le travail des crayons, des lumières , des formes, termineront l’ oeuvre….  La toile sur papier est ensuite encollée sur bois et encadrée sur commande.        

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                La Fusion       
        Diptyque   Papier de lin encollé sur bois  

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                     Toile:  Je t’ aime            
      195×135
          Toile grand format :     Lin tendu sur chassis de bois       Enduit. peinture : Huile et pigment .         Crayon . Cire ancienne . Glacis. Oeuf                Utilisation de pigments et de "Glacis"         Un glacis , comme son nom l’indique, ressemble à de la glace.   C’ est une couche de peinture solide et transparente  souvent teintée par le peintre .         Il existe aussi des glacis mats.     L’étymologie de ce terme ne doit pas nous induire en erreur : Le glacis n’a nullement vocation de "geler"  l’oeuvre comme pourrait le faire un vernis. La traduction en allemand de ce mot, Lasur, (français :lasure) a ceci d’intéressant qu’elle évoque la transparence, certainement la propriété la plus caractéristique des glacis.  
        L’apparition au XIXème siècle des "glacis à l’huile"      Mélanges d’huile de lin, de craie et de pigments     (pour les travaux artistiques)     

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            Tout le tableau est réalisé en glacis successifs (voir photo ci-dessous )      Deux couleurs : ocre et crayon bleu manganèse ont été utilisées en nombreuses couches sur un fond blanc.    Des roux  orangés et  même des noirs en jouant du pouvoir des couches transparentes.     Travail à l’ancienne : Poser une imprimature plutôt sombre et revenir par dessus avec du blanc ou un mélange couleur du fond + blanc définissant assez précisément toutes les valeurs du tableau sous la forme d’une sorte de camaïeu. Il ne reste plus qu’à appliquer des couleurs en glacis en conservant par transparence, le travail imposé antérieurement.     
     Les glacis sont appliqués et souvent séchés à l’horizontale car sauf exceptions, la matière utilisée est plutôt liquide.     Il est possible cependant de travailler sur chevalet en utilisant des quantités très faibles.        Des adjuvants tels que la cire (manière vénitienne) ou des charges incolores pour la peinture à l’huile      Des "couleurs spéciales pour glacis spécifiques "peinture à l’huile." fort coûteuses."                 vibrations                250×250 cm      Toile de lin tendue  sur chassis. Crayons . Enduit. Pigment à lhuile