Le fullcoaching, ou la prétention de l’élitisme

Nous évoluons dans une société paradoxale : dans sa quête d’imposition de la liberté, des mains fragiles de son ordre moral, elle s’est évertuée à discriminer le vocabulaire individuel relevant de la souveraineté, de la fierté, de la force. Ces mots ne sont plus « vertueux » qu’à l’échelle macrocosmique - autrement dit, étatique. Par suite, certains concepts, transformés par l’évolution organique de la langue, sont devenus tabous.

Un peu d’étymologie, donc ! Prenons le mot « Vertu » car il possède ce critère d’involution sémantique: ce mot provient du latin virtus, qui implique la force virile, le caractère. Une fille de « petite vertu », c’est une toute autre affaire…

A contrario, Le fullcoaching ne craint pas d’afficher sa prétention taboue: l’élitisme. Non pas que nous ne prenions que les « meilleurs ». Nous voulons simplement faire devenir, faire évoluer la perception du monde et du savoir pour celles et ceux qui veulent entreprendre une telle démarche.

Pour ce faire,l’enseignement à l’intention des adultes n’a pour autre vocation que de faire progresser les volontés de puissance physique et mentale au maximum : entre musculation et psychologie participative. Car la philosophie s'inscrit au cœur de cet enseignement rigoriste visant à faire « vivre mieux ».

De même, la rigueur s’avère être le corolaire décisif pour notre jeune section « fullcoaching scolaire ». Là encore,le fullcoaching ne se contente pas de « soutien scolaire » : l’optique est de proposer une élaboration rapide tout en étant adaptée à l’élève. Philosophie et lettres sont activement enseignées dès la seconde pour une simple et bonne raison : nous estimons que c’est tout jeune que l’enfant forge son propre rapport au monde. Autant qu’il soit le plus ouvert possible à l’infinité de la connaissance et de la possibilité !

Peinture: Tiago Duarte