Je ne parle pas un mot d'espagnol, hormis Cuando se come aqui?, vestige d'une lecture assidue de Lucky Luke. Je ne suis pas lecteur assidu d'Ignacio Ramonet, ni du Monde Diplomatique. Je ne suis pas Cubain, ni adorateur tardif de Fidel.
Du Che, je préfère retenir, au delà de l'icône bobo déclinée ad lib. sur les t-shirts, sac, tongs, posters, stickers, badge, cette chanson nostalgique, si hagiographique et si naïve de Carlos Puebla, Hasta siempre.
L'air qui vous trotte dans la tête en ces matins où l'actualité ne parle que grèves, blocages, pénuries. Un peu de soleil caraïbe, un zeste de passion sud-américaine.
Buena Vista Social Club: Hasta siempre
Enjoy!