Quelques œuvres inhabituelles surprennent le flâneur dans le Jardin des Tuileries. La FIAC 2010, du 21 au 24 octobre, présente ainsi le travail d’artistes à découvrir.
M’y promenant ce jour-là, j’ai rapproché :
L’arbre des voyelles (Giuseppe Penone), qui est devenu pour moi une obsession, et à propos duquel j’ai pensé que, si on en prenait une vue aérienne, il perdrait son aspect d’arbre mort, les cinq arbres auxquels il est relié lui donnant une feuillage abondant, et vivant
et l’arbre (Turn back time. Lets start this day again) de Ugo Rondinone, qui attire les oiseaux jouant autour et sur le bassin où il prend pied.
L’échappée de Bernard Pagès, les Narcisses (Narcissus Garden) de Yayoi Kusama et les Pierres (Stone) de Richard Nonas, avec cette question : l’art doit-il ordonner le monde ?