Rester en vie !
En santé comme en d'autres domaines:
Nos représentants élus DEVRAIENT NOUS PROTÉGER contre l'appétit des industriels... mais ils préfèrent se remplir les poches !
Je vous propose quelques éléments qui doivent absolument être considérés… (et il en manque…si on savait tout c’qu’on sait pas…) dans la recherche de la vérité à propos de la crise pandémique de 2009/2010.
Elle a également tenté de produire ses propres courbes et tableaux et en arrive à la conclusion qu’on ne peut démontrer clairement les risques/avantages de la vaccination anti-grippale (ou pandémique), elle n’a pas tort.
À mesure que je composais ma réponse, j’ai senti le besoin de la partager avec vous.
Au départ, les chiffres sont imparfaits à un point tel que l’argumentation est difficile. L’absence de certaines données est suspecte. Elle ne sert qu’à justifier des actions autrement injustifiables. Je vous explique.
OMS
Au début de la pandémie, l’OMS avait demandé aux états membres de tester combien de personnes étaient atteintes du fameux virus de la grippe porcine, la désormais célèbre A(H1N1), chez les patients qui se présentaient à l’hôpital avec des symptômes laissant croire qu’il pouvait s’agir de ce virus particulier. Des tests en laboratoire, coûteux en argent et en ressources humaines, ont été pratiqués. Par la suite (beaucoup trop tôt) on a demandé aux états membres de cesser les tests de sorte qu’il est devenu impossible de savoir combien ont attrapé cette grippe pandémique.
Toutefois, on a cru (et on croit toujours mais on ne le saura jamais) que lorsqu’il y avait décès, les victimes étaient testées pour l’H1N1 et une autopsie était pratiquée… et encore… lorsque les autorités chargées de pratiquer ces tests et autopsies avaient les moyens de le faire … Pressions indues ? [déjà vu], logistique et organisation déficientes ? [ça oui], coûts, pénurie de ressources humaines… name it !
Pendant l’été 2009, lorsque l’OMS a demandé d’arrêter les tests, elle connaissait déjà la tendance vers un impact faible et pourtant… encore en décembre ils écrivaient «un impact modéré». Dès lors qu’ils cessent de comptabiliser l’incidence de la grippe pandémique (celle-là et pas une autre), ils peuvent continuer de dire qu’elle a «un impact modéré».
C’est pourquoi j’avais basé mes tableaux de décès sur la démographie et la couverture vaccinale, plutôt que sur des données incomplètes et non fiables: l’incidence des cas de grippes H1N1.
Pour soutenir leurs allégations concernant la gravité de cette grippe, l’OMS accumulait des données en provenance du Mexique, foyer de la contagion, état aux structures organisationnelles souvent déficientes et qui fournissent des données plus ou moins fiables.
Au début juillet, un fort pourcentage d’organisations sanitaires aux USA étaient sur le point de remettre leurs rapports statistiques et contre toute attente, on les a empêchés de les transmettre, l’OMS n’en voulait plus… tiens donc ?
Bon timing parce que ces stats démontraient clairement qu’il y avait beaucoup moins de vraies grippes A que les «pré-visions». Des visions, l’OMS a eu des visions apocalyptiques et des pré-vision$ de profit$ (pour les labos) carrément honteux dans un contexte de crise financière mondiale.
Grippe saisonnière
Si on veut connaître l’impact réel il nous faut prendre connaissance de ces données:
- L’incidence des vraies grippes (Influenza) et des états grippaux (les chiffres sont caduques si on ne fait pas la différence entre les deux).
- L’impact de la pandémie H1N1 sur la diminution des autres souches de grippes habituellement rencontrées.
J’en ai parlé une fois sur mon blogue, à la fin de l’hiver dernier j’ai discuté avec mon médecin de famille (qui me suit depuis 25 ans) de l’impact de la grippe H1N1 et il m’a dit que cette pandémie était «une bénédiction». Il m’a avoué s’être fait regarder de travers par un confrère lorsqu’il en a parlé.
Ayoye ! (que je me suis dit) il travaille 4 jours semaine en épidémiologie… ça faisait longtemps que son épouse (également médecin) et lui prédisaient une pandémie… qui viendrait… c’était garanti… ! (tsé… les visions de l’OMS) alors il est content, il s’était préparé pour ça et bingo voici la fameuse grippe du cochon ! Une bénédiction ! rien de moins ! Je ne comprenais pas … mais il m’a expliqué:
Des milliers de personnes sont encore en vie parce que la pandémie très contagieuse n’était pas si grave, (ça nous le savions) et elle aurait protégé la population des autres souches de grippe qui font, bon an mal an, beaucoup plus de victimes (décès).
Ah bon ?
Il m’explique que les virus habituels de type Influenza n’ont pas été en mesure de se développer, ceux de la pandémie étant plus contagieux… c’est comme chez les humains… les plus forts bouffent les plus faibles.
Le méchant prédateur n’était pas le tueur annoncé par les serviteurs du plat du jour, et j’ai nommé: les médias nationaux (au service de leurs clients publicitaires) sans parler des autorités sanitaires corrompues jusqu’à la moelle. Le jeu de la chaise musicale ne se joue pas qu’à l’OMS. Historiquement, nos «respectés ministres docteurs» vont et viennent entre la chaise du gestionnaire d’un grand labo et celle du ministère de la santé et des services sociaux. À ce sujet permettez-moi cette petite parenthèse.
Dans une société où la richesse matérielle a bien plus de valeur que l’intégrité et la recherche de la vérité.
Il est d’actualité de parler de corruption au Québec. Sommes-nous assez naïfs pour croire que des fortunes aussi colossales que celles de BigPharma n’ont aucune influence sur l’établissement de lois et règlements assortis de mesures de contrôle et d’efficacité en vue de (donner l’impression de) protéger le public, alors que l’industrie de la construction (entre autres) fait ça les doigts dans le nez ?
Les contrats juteux passés en 2009 entre les labos et les gouvernements n’ont pas réussi à vous convaincre ?
Lisez vite «Corrupt to the Core – Memoirs of a Health Canada Whistleblower» (version originale anglaise) ou
«Corrompus jusqu’à la moelle» (traduction française)
ISBN 978-2-922969-24-5Un cri du coeur d’un scientifique qui compte trente années de carrière chez Santé Canada. C`est à vous donner froid dans le dos. Intimidation, pressions, menaces, on n’a pas ménagé les efforts pour le faire taire, heureusement pour nous, sans succès. Une autre histoire de David contre Goliath. Un exemple d’intégrité dans une société en manque de héros.
Quelques hérésies en passant…
Pharmaguédon
Un autre point à considérer dans la recherche des éléments sous-jacents aux décès des personnes atteintes du virus de la grippe A, ou de tout autre virus.
Les individus «sélectionnés» comme étant «à risques» (à risque d’en crever faut-il comprendre?), dans l’ensemble, sont et seront toujours parmi les citoyens les plus médicamentés de tous, les plus dépendants de l’appareillage médical. On ne tiendra nullement compte de l’influence de ces éléments sur leur capacité à se défendre contre un virus.
Parenthèse
C’est un fait, il n’y a pas que les médicaments. L’équipement médical fait maintenant partie de la nouvelle image de l’intégrité physique d’un nombre grandissant de personnes malades: «pontages, cathéters veineux, pic-lines, appareils orthopédiques internes (vis, plaques, tiges)… et quoi encore… on ne perdra pas notre temps à lister les gugusses (gugusses pour lesquels Santé-Canada émet des alertes régulièrement) que l’industrie a réussi à implanter dans l’homme moderne hein ? Les décideurs ne remettent jamais en question les avantages soi-disant nettement supérieurs aux inconvénients de ces nouvelles panacées… mais pourtant ! y croire en vrac n’a rien à voir avec la rigueur scientifique
En outre, les personnes à risques sont celles qui fréquentent massivement des établissements de santé qui avouons-le, sont de vastes foyers d’infections et de virus de toutes sortes. On a de quoi être fiers d’être québécois, un petit exemple d’Omerta médical: le Québec-Strain est connu mondialement sauf que nous autres ici… on n’en savait rien !
Du moment que «c’est pour notre bien»
«Laissez venir à eux les petits dollars»
En nous chantant sur tous les tons que le vaccin nous protégerait, les décideurs ont entretenu la peur, l’illusion, l’espoir. L’espoir fait vivre ! «fait vivre» l’industrie ! de ça au moins, on est certain.
C’est réconfortant une petite certitude de temps en temps. Tiens, pourquoi pas une autre? c’est le spécial «deux pour un» aujourd’hui : c’est VOUS ET MOI, cochons de payeurs de taxes, qui allons la faire vivre, cette industrie. De ça aussi vous pouvez être certain.
Pour les chantres de la petite pilule, mes propos sont scandaleux, pourtant c’est la réalité, quoi qu’on en dise. Personne ne veut tenir compte de cette réalité, car personne ne veut «froisser» la toute-puissante et vénérée BigPharma. Du moment que c’est pour «notre bien». Pfff !
Pharmacovigilance
Pour en revenir à nos moutons, les éléments à considérer dans l’établissement de courbes décès grippe A et vaccination, il reste encore un élément d’une importance capitale.
En pharmacovigilance il ne manque pas de cas où l’on refuse carrément de déclarer certains évènements suite à une procédure vaccinale parce que c’est écrit NOIR SUR BLANC dans le protocole de ne pas les comptabiliser. Super-volumineux en passant le protocole… on sent la recherche d’efficacité n’est-ce pas ?
Juste par souci de rigueur scientifique, pourquoi ne pas laisser parler les chiffres ? trop dangereux de perdre la confiance du public ? on peut se le demander.
L’attaque est la meilleure défense
Culpabilité pour les méchants hérétiques
Maintenant qu’il est établi que si vous en mourez, le responsable sera la grippe et pas le vaccin ou les maladies sous-jacentes, on ne se gênera pas pour le crier haut et fort. On s’en servira pour culpabiliser ceux qui se «permettent» encore de questionner la nécessité des campagnes de vaccination massives.
Petite parenthèse…
Comme dans la planète des singes: L’Arme de dissuasion massive.
Conséquence vicieuse du manque de données probantes… Vous vous souvenez l’histoire du jeune ontarien décédé (on ne sait si c’est de la méningite ou de la grippe A), il n’a subi aucune autopsie, à la demande des parents (s’il faut croire ceux qui tiennent le micro). Il va sans dire que les autorités n’avaient ni le pouvoir, ni le goût, d’outrepasser le désir des parents, préférant les «rumeurs» à la vérité. Je vous avouerai que j’ai de sérieux doutes quant aux véritables responsables du choix de refuser l’autopsie. N’oublions pas qu’à la direction de la santé publique, à cette époque précise, on paniquait carrément à cause du manque d’adhésion populaire à cette vaccination de masse. Il leur fallait une arme de dissuasion massive.
Pays sélectionnés
Michel (mon docteur de famille) est une mine d’informations. Et l’information ne vient pas d’un représentant médical, il n’en reçoit aucun et les tablettes de son officine ne sont guère encombrées de démos pharmaceutiques. Il surveillait déjà l’hiver austral au tout début de la contagion. Je lui ai demandé si la grippe saisonnière (la vraie grippe, pas les rhumes etc…) était aussi contagieuse d’un pays à l’autre… et s’il y a de bonnes différences, pourquoi ?
Semblerait que le virus de la grippe a besoin d’un air plutôt froid et sec pour s’implanter plus efficacement dans les voies respiratoires. C’est pourquoi dans les pays chauds et humides il y a moins de grippes, c’est pourquoi chez nous au Québec, on n’a peu de grippe en été. En conclusion, les statistiques de chaque pays sont bonnes dans la mesure où on les compare sur elles-mêmes avec d’autres années, et non pas avec d’autres régions au climat différent.
Ceci dit, un statisticien serait en mesure de pondérer les résultats pour les mettre en évidence dans un tableau de couverture vaccinale pour évaluer son impact sur les grippes saisonnières, et sur la grippe H1N1 en particulier. Les spécialiste de la Collaboration Cochrane l’ont fait pour nous.
Il faut espérer que le public aura l’ouverture d’esprit et la curiosité de lire les résumés des études qu’ils ont publiés. Ils ont démontré que ce qu’on appelle «grippes» ne représente qu’un infime pourcentage de l’ensemble des états grippaux divers, pour lesquels, aucun vaccin n’est efficace. Ils ont aussi démontré l’inutilité des campagnes de vaccination massives contre la grippe. Ils ont colligé, analysé des centaines d’études et, chose rare, ne sont pas rémunérés par l’industrie.
Je vous propose également la lecture de ce document .pdf qu’une fidèle lectrice m’a fait parvenir récemment:
Immunization Graphs
Le plus triste, c’est que même cette évidence scientifiquement démontrée et silencieusement admise par les intéressés les plus honnêtes, ne semble nullement ébranler les fondements de la «foi» des promoteurs des avantages de la vaccination en général. C’est peut-être la meilleure démonstration de leur adhésion aveugle aux dogmes médicaux et une preuve indéniable d’un manque flagrant de rigueur scientifique. Ils ne font que répéter en écho les arguments des visiteurs pharmaceutiques (qui les récompensent pour leur fidélité).
Contrairement à l’opinion générale, la science a trouvé le moyen de faire la démonstration de sa réelle mission: les scientifiques émettent d’abord une hypothèse qu’ils tentent de valider par la suite. Nos «sauveurs auto-proclamés» excellent dans l’art de nettoyer les colonnes de chiffres qui risqueraient de contrarier leurs «à priori» et d’avoir des conséquences sur leurs portefeuilles boursiers.
La mission «humanitaire» de la science médicale ?
Faire la démonstation que l’humanité a besoin de BigPharma pour survivre. Nothing else.
Si on voulait juste se réveiller un p’tit peu… on se rendrait compte que c’est BigPharma qui a besoin de vous et moi pour survivre. Et c’est nous qui sommes les vrais décideurs quand il s’agit de notre santé.
Il faut passer le mot… et AGIR !
Références pour ce billet
- Immunization Graphs
http://www.theoneclickgroup.co.uk/documents/vaccines/Immunization%20Graphs%20PPT%20-%20RO%202009.pdf