"Vous aurez beau tenter d'emprisonner mon enveloppe charnelle, mon âme restera libre et c'est par le son de cet harmonica que celle-ci peut s'échapper."
C'est sur cette phrase d'un personnage de fiction que le geek heureux entame une lueur de réflexion. En effet le premier réflexe fut de se dire que ce n'est qu'une énième déblatération sur le sentiment de liberté. L'adulescent qui se trouve dans ce geek cynique ne peut se dire que c'est seulement "à cause d'la société mannn". Néanmoins le geek résigné peut envisager un aspect plus profond à tout cela. Certes "la société", mais même lorsque l'on s'en échappe (bien que ce soit illusoire) l'humain tentera toujours d'en recréer une. Regardez ces hippies et leurs "Communautés anarchistes", eh oui il y a bien ces deux mots parfaitement contradictoires posés l'un à coté de l'autre pour signifier quelque chose de concret. Le geek clown est parfaitement conscient de sa dépendance au reste du monde se sent-il alors emprisonné pour autant? Pas entièrement, car le fait de s'impliquer et de se soumettre à certaines règles est une auto-discipline qui va de soit avec l'once d'altruisme qu'il possède mais s'il n'y avait que ça se serait un bon argument pour péter un câble et devenir le terroriste qui sommeille en lui et émaner à outrance son Osef power.
Ainsi il ne lui reste que trois choses, l'évolution spirituelle par agglomérat de connaissances, l'application de cognition par la création et la recherche de la maîtrise du corps et de l'esprit. Alors, le geek morbide s'écrit (sans stylo) "Enlevez m'en une et je ne pourrai pallier ce manque qu'avec une corde!".
Mais est-il nécessaire de développer ces trois derniers points? Oui? Ok, donc :
- Croire que l'on peut tout savoir à propos de tout.
- Masturbation mentale.
- Skate, snow et jeux vidéos (FPS).