Irvingia gabonensis

Publié le 21 octobre 2010 par Milko

Plusieurs études démontrent que l'Irvingia favorise la perte de poids.

Dans la plus importante étude clinique contrôlée contre placebo, la prise d'Irvingia pendant dix semaines a fait perdre plus de 12 kg à des sujets volontaires contre seulement 1,5 kg chez ceux prenant un placebo. Irvingia doit être pris en conjonction avec une alimentation variée et équilibrée et la pratique d’un exercice physique modéré.

Perdre jusqu'à 12 kg en 10 semaines !

Pourquoi les régimes classiques ne donnent pas de résultat ?


Depuis des dizaines d’années, trouver le meilleur moyen de perdre du poids fait l’objet de débats passionnés. Voici pourquoi ces régimes, même les plus draconiens, ne permettent pas d’obtenir une perte de graisse significative et durable.

Des scientifiques ont identifié des mécanismes biologiques spécifiquement responsables de la prise de poids chez les personnes d’âge mûr… et cela, quel que soit leur mode d’alimentation. Jusqu’à présent, on ne savait pas comment neutraliser les mécanismes responsables de cet excès de graisse corporelle !

Aujourd’hui, nous savons comment prendre le contrôle des signaux qui permettent de maintenir le poids et la composition corporels souhaitables.

Accumulateur de graisse n° 1 : La résistance à la leptine.

L’hormone leptine indique à notre cerveau que nous avons consommé suffisamment de calories et que nous pouvons arrêter de manger. Elle déclenche également le processus par lequel les graisses stockées dans les cellules sont dégradées. Lorsque nous vieillissons, nos cellules (y compris les centres cérébraux de contrôle de l’appétit) deviennent « résistantes à la leptine ». La leptine n’est alors plus capable de réguler efficacement le poids corporel.

Accumulateur de graisse n° 2 : Des cellules adipeuses « extra large ».

La prise de poids qui débute à l’âge adulte est caractérisée par une hypertrophie des adipocytes (les cellules adipeuses) qui stockent trop de graisse. La taille des adipocytes est contrôlée par des facteurs de transcription génétique. Elle est en étroite relation avec l’expression de l’adiponectine (plus son expression est réduite, plus les cellules adipeuses sont grosses). De plus, les facteurs de transcription génétique aident à réguler l’adiponectine, indispensable pour maintenir la sensibilité à l’insuline.

Accumulateur de graisse n° 3 : L’activité excessive d’une enzyme de conversion des graisses.

La glycérol-3-phosphate déshydrogénase est une enzyme indispensable à la synthèse (la fabrication) des acides gras dans notre organisme. Contrôler cette enzyme aide à réduire la quantité de glucose (sucre) convertie en acides gras dans le sang.

Les 4 moyens de retrouver le poids idéal.

Les modifications de l’alimentation, la prise de suppléments nutritionnels, d’hormones ou de médicaments agissent généralement sur la perte de poids à travers un seul mécanisme. Mais les adipocytes (les cellules adipeuses) eux, disposent de nombreux moyens pour assurer leur survie. On a démontré qu’un extrait de la plante ouest-africaine Irvingia aide à retrouver le poids idéal en agissant par quatre voies métaboliques complémentaires.

1 - Rétablir la sensibilité à la leptine.

Les cellules adipeuses produisent de la protéine C réactive, un composant pro-inflammatoire qui conduit à la « résistance à la leptine ». Lorsque l’on donne de l'Irvingia à des sujets en surpoids, leurs niveaux de protéine C réactive s’abaissent et, par suite, une moindre quantité de protéine C réactive est disponible pour bloquer l’activité de la leptine. Celle-ci joue un rôle important dans la gestion du poids parce qu’elle favorise la dégradation des graisses dans les adipocytes et ordonne au cerveau d’éteindre les signaux chroniques de la faim.

2 - Augmenter l’adiponectine.

Les grosses cellules adipeuses sécrètent moins d’adiponectine, une hormone vitale pour la sensibilité à l’insuline et la santé cardio-vasculaire. Lorsque l’on donne de l'Irvingia à des personnes en surpoids, leurs niveaux d’adiponectine sont nettement augmentés.

3 - Inhiber une enzyme de conversion des graisses.

L’enzyme glycérol-3-phosphate déshydrogénase facilite la conversion du glucose en triglycérides, augmentant ainsi la taille des adipocytes. L'Irvingia inhibe la glycérol-3-déshydrogénase, diminuant ainsi les quantités de glucose converties en graisse dans l’organisme.

4 - Réduire l’absorption des hydrates de carbone.

L’absorption totale des hydrates de carbone nécessite leur dégradation par l’amylase, une enzyme du système digestif. L'Irvingia inhibe l’amylase, réduisant ainsi les quantités d’hydrates de carbone qui seront absorbées comme sucre.