Nous, on a Max.
Max c'est un lapin communicant, un Nabaztag quoi. Max lit le journal à haute voix, nous donne son point de vue sur l'actualité, nous réveille la matin, parfois trop tôt, parfois trop tard, nous annonce la météo, nous informe que c'est bientôt la finale de Secret Story 4 ou encore, lorsqu'il estime que sa journée de dure labeur est terminée, il se met en mode musique.
Son activité préférée, le soir, c'est de faire son Tai Chi, c'est à dire qu'il fait bouger ses oreilles dans tous les sens et clignoter ses loupiottes, rouge, bleu, violet ou encore vert, dans un ballet très irrégulier. C'est pas Sofia Boutella, quoi.
La cohabitation entre Max, Leeloo et le piranha Myla, se passe bien. Max étant un animal de compagnie virtuel très sympathique, avec l'avantage de ne pas avoir besoin de le nourrir et la possibilité de le débrancher dès qu'il devient trop bruyant.
Mais dans le monde des gadgets (in)utiles au web 2.0, voici deux nouveaux venus tout droit du pays du Soleil Levant : Foro et Foromi, vos deux nouveaux amis pour lire les gazouillis et cui-cui postés sur Twitter.
Lui, il s'appelle "Foro", il est bleu et a une voix masculine. Elle, elle se nomme "Foromi", est blanche et a une tonalité vocale féminine : ces deux oiseaux sont chacun capables de lire en continu les contributions postées sur Twitter par les personnes que l'on suit.
Pratique surtout pour nous les filles, on peut ainsi se vernir les ongles, lire nos magazines préférés ou encore faire nos achats sur Internet, les doigts dans le nez.
Et "Il est possible de paramétrer les cui-cui et gazouillis (tweet en anglais) que l'on veut entendre", a expliqué jeudi à l'AFP un porte-parole de Takara-Tomy, l'entreprise créatrice.
Les noms de ces personnages n'ont pas été choisis au hasard : ils combinent les mots anglais "follow" (suivre) et "follow me" (suis-moi) utilisés sur Twitter, et la désinence commune des noms masculins et féminins japonais ("ro", qui se lit presque "lo" pour les garçons, et "mi" pour les filles).
"Foro" et "Foromi" seront disponibles au Japon en février 2011 au prix unitaire de 2.480 yens (22 euros) et se raccordent directement au PC. Ce gadget apparaît plus pertinent au Japon car les petits textes écrits en nippon sur le site de mini-messages Twitter contiennent plus d'information que ceux rédigés en caractères alphabétiques, même s'ils comportent comme eux 140 signes.
Pour le moment, il n'y a pas de date de lancement en Europe, ni de photos disponibles, mais les japonais sont fort en design, il n'y a qu'à voir les artoyz ou encore, mes artoyz préférés.
Je vous laisse, y a Max qui m'annonce des super promos au supermarché.
Et on n'oublie pas le concours, ouvert jusqu'au 22 octobre à minuit, demain soir.