Médias sociaux, stress et management de qualité

Publié le 20 octobre 2010 par Eogez
A l'heure des Facebook, Twitter et autres, les personnes ayant la responsabilité de suivre les activités en ligne répondent souvent à l'exigence de la présence et de l'hyperconnexion. Tout ceci dans un souci de travail d'image de la marque pour laquelle elles travaillent.
Un management de qualité est essentiel pour fixer des doses de travail digérables; il peut (bien sûr) y avoir quelques moments chargés.
Ainsi, en plus d'une compréhension des technologies sociales, des enjeux en termes de leadership, l'aspect "gestion" est tout aussi indispensable pour atteindre les objectifs fixés.
L'enjeu est différent selon :
- le nombre et l'importance des objectifs
- la taille du portefeuille de produits/services
- la multiplicité des lignes de marque.
Tout est aussi en fonction du volume de conversations ou de l'exigence de la stratégie. Le challenge est de trouver un équilibre entre le temps de présence avec les utilisateurs/membres et les autres missions, entre vie professionnelle et vie privée. Quelles limites fixer ?
Il est préférable de garder des collaborateurs frais, flexibles et capables d'exploiter leur créativité. Nous connaissons l'aspect chronophage des médias sociaux. Comment faire en sorte que le stress et la fatigue ne viennent pas entamer les performances ?
Comme le disait Nicolas Sauvage (de chez Reed Smith) au dernier Media Aces, la question du temps de travail est à revoir si l'on intègre les médias sociaux au modèle.
C'est aussi pour cela que certaines offres d'emploi peuvent effrayer, en listant trop de missions (job fourre-tout). A la limite, on peut préciser quelle est la part de chacune des missions sur l'activité totale, et donner quelques détails sur chacune d'entre elles. Qu'en pensez-vous ?
(credit photo)