Dans une lettre adressée hier au président, mais aussi au Premier ministre et aux parlementaires, les évêques ont dénoncé
la fécondation in vitro qu'ils considèrent comme «la petite sœur de l'eugénisme».
«L'Eglise a le droit d'articuler ses opinions, mais je n'ai jamais pensé qu'elle allait le faire de façon aussi drastique»,
tels sont les mots du porte-parole Paweł Graś , qui dénonce fermement «des menaces et des tentatives de pression et de chantage».