Magazine Poésie
Cette mélodie de piano m'emporte, Les maux durs s'exportent, Les frissons s'activent, D'un romantisme, ils m'enivrent, La pureté de la femme, Telle la fleur qui jamais ne se fane, La brise légère, De son regard qui jamais n'exagère, La douceur de sa peau, Attire l'effluve de mes mots, Le parfum des fleurs enivrantes, Attire les papillons qui se vantent, Cette mélodie de piano m'emporte, Les maux durs s'exportent, La pureté, la sagesse, la féminité, Le visage de cette femme m'a comblé, Les mots sont sortis, Seront sans démentis, Ils ressortent de mon esprit, Sur la toile, alors, je veux qu'ils soient dits,
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