Après Universal, EMI et Warner, Sony BMG vient d'annoncer la prochaine mise à disposition d'une partie de son catalogue en téléchargement légal (payant) sans DRM, lisible sur n'importe quel baladeur numérique ou PC. Les maisons de disque font donc machine arrière sur la diffusion de leurs oeuvres en ligne, mais cela suffira-t-il à enrayer la crise qu'elles connaissent (chute des vente de CD et fuite des artistes se sentant lésés) et à renflouer leurs caisses ?
Pas si sûr, s'il l'on se réfère au cas Warner, dont l'action en bourse vient d'atteindre un niveau inquiétant à 5,81 $, contraignant le président du groupe à faire un constat d'échec. Faillite annoncée ?
Au-delà de cet exemple, quel avenir pour les majors du disque ? La fin du CD ? De nouvelles activités à envisager ? L'avenir nous le dira...