La dernière fois que ma montre s'est arrêtée, j'ai aussi arrêté de la porter, je l'ai laissée s'empoussiérer sur mon bureau ou sur un rayon d'étagère (le rayon du bas, presque à niveau du sol, celui où je stocke mes livres de « non-fiction ») et je m'en suis passé pendant six mois au moins, attendant que mon père décide lui-même de porter sa montrer pour faire changer la pile histoire de lui refiler la mienne au passage, voilà pour l'anecdote.