Et puis aussi : hasard des photos flashées. Un soir où la lune était ferme, dans l'axe, comme souvent, j'ai sorti le Kodak. Outre la médiocrité de la photo en elle-même (on s'en fout), d'autres hasards, par exemple celui qui laisse traverser un insecte au moment de déclencher le flash. Parfaite coïncidence, la preuve : on dirait une bien cheap retouche photoshop. Mais non, simplement la coïncidence du moment, et aussi d'autres revers de flash, abstraits, sur la droite, issus eux des reflets de la fenêtre toute proche. (Cliquez sur la photo pour l'avoir en taille réelle.)
Blackout bis terminé : mise en ligne décalée des derniers billets censurés par l'aridité des ondes wi-fi.
Et puis aussi : hasard des photos flashées. Un soir où la lune était ferme, dans l'axe, comme souvent, j'ai sorti le Kodak. Outre la médiocrité de la photo en elle-même (on s'en fout), d'autres hasards, par exemple celui qui laisse traverser un insecte au moment de déclencher le flash. Parfaite coïncidence, la preuve : on dirait une bien cheap retouche photoshop. Mais non, simplement la coïncidence du moment, et aussi d'autres revers de flash, abstraits, sur la droite, issus eux des reflets de la fenêtre toute proche. (Cliquez sur la photo pour l'avoir en taille réelle.)
Et puis aussi : hasard des photos flashées. Un soir où la lune était ferme, dans l'axe, comme souvent, j'ai sorti le Kodak. Outre la médiocrité de la photo en elle-même (on s'en fout), d'autres hasards, par exemple celui qui laisse traverser un insecte au moment de déclencher le flash. Parfaite coïncidence, la preuve : on dirait une bien cheap retouche photoshop. Mais non, simplement la coïncidence du moment, et aussi d'autres revers de flash, abstraits, sur la droite, issus eux des reflets de la fenêtre toute proche. (Cliquez sur la photo pour l'avoir en taille réelle.)