Laura Ingalls sur un portant, je me suis remise au LPCCV. Dernier épisode ici. J’ai eu du mal à m’y remettre je l’avoue. Je vois le bout du tunnel mais le chemin est encore long … très long. Les cours de couture m’ont donné du courage et déjà, de l’assurance.
Après avoir révisé quelques points, constitué mon classeur et récolté quelques échantillons de tissus et de mercerie, j’ai finalement décidé de ne pas ranger ma boîte à couture pour continuer sur ma lancée.
Souvenons-nous, j’avais (presque) fini la veste grâce à Mamamie. En douce, sans vous le dire, nous avions également commencé le tablier. J’ai continué les jours suivants, le soir en rentrant du boulot. J’avais donc terminé le tablier et commencé à assembler la surjupe et sa doublure.
Tablier et surjupe du LPCCV
Les plis de la surjupe, au niveau de la ceinture, étaient déjà faits. Ce week-end je me suis attaquée à poser la ruflette à l’intérieur de la surjupe. Noobypapa m’a ensuite aidé à placer les anneaux à rideaux et à plisser la ruflette. Les anneaux viendront s’accrocher dans les anneaux sur le dessus de la jupe pour créer les tournures. Ok, ce n’est pas trop historique mais je suis sur un patron symplicity, pas du Janet Arnold !
Au milieu de la photo, on voit la ruflette posée. En dessous, on voit l’effet sur l’endroit du vêtement. Je dois dire que je n’avais jamais utilisé de ruflette et c’est quand même vachement pratique pour les plissés. Ensuite, j’ai bâti le tablier sur la surjupe.
Comme je n’avais pas entoilé la ceinture et que ma table à repasser était pleine de bricoles, je me suis arrêtée là. J’aime bien l’effet que ça donne mais ce sera certainement mieux avec la jupe dessous. En plus, je trouve que le tablier descend un peu trop bas (sous les genoux). Je ferai peut-être quelques points pour maintenir les plis un peu mieux et relever le tout.
Et vous ? Vous en pensez quoi ?