monsieur Michu in Sans logis — 17/10/2010
1- A l’école comme à la maison. Des espaces conçus pour le repos, des locaux bien chauffés et agréables. Les élèves circulent en chaussette en Finlande.
2- Tutoiement de proximité. Les cours ressemblent à une conversation entre adultes.
3- Implication des élèves. Ils sont formés à être des conseillers et des médiateurs dans les conflits aux Pays-Bas. En Angleterre ils sont associés à l’élaboration des règles. Ce qui contribue au fait que les petits anglais se sentent responsables contrairement aux français qui imputent généralement la faute à une cause extérieure.
4- Deux heures par semaine un artiste, intervient pour enseigner sa matière. Musique, danse, théâtre, arts visuels. C’est le programme MUSE qui est appliqué déjà dans 11 pays.
5- Lieu ouvert sur la ville. Pas de grille à l’entrée. Les parents en Finlande peuvent assister librement aux cours.
6- Activités périscolaires à partir de 14 ou 15 heures de sport et musique en Allemagne.
7- Construction d’un sentiment d’appartenance à travers des événements organisés au cours de l’année : rencontres sportives, bals vengte de tee shirts aux USA.
8- Plusieurs élèves par classe sont désignés comme « médiateurs » aux USA. Début d’écho en France
9- Guérir plutôt que punir. Méthode Farsta en Suède permet d’enrayer n la persécution d’un élève et la récidive des fauteurs de trouble. Confidentialité sur l’identité de la victime (les parents ne sont pas avertis) absence de sanction et de culpabilisation, entretien avec l’agresseur pour qu’il ne fuie pas le problème. Il s’agit non pas de punir mais de l’aider à construire une alternative lui permettant de sortir la tête haute.
10- Projection du diaporama Nuutine, en Finlande,montrant des agressions réelles violentes d’adolescents avec des images choquantes.
Nous concluerons par une onzième :
Entreprendre une formation obligatoire du corps enseignant pour lever les blocages à l'application de ce type de mesures et d'autres d'ailleurs.