No Ordinary Family: 1.03 No Ordinary Ring
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Sentiment partagé. Une part da ma personne a envie d'aimer cette épisode et l'autre n'a pas été convaincue. Commençons par ce qui a pu plaire. Les parents Powell tout d'abord. Stephanie, la
mère, est dans la mélasse jusqu'au cou lorsque son patron lui demande un échantillon de sang pour valider le financement de ses recherches. Figurez-vous que c'était bien fun. Avec la pauvre
assistante qui fait une bourde avec les échantillons en pensant bien faire ou l'opération "effraction du labo à vitesse extrême", il y avait de quoi passer un bon moment de comédie. C'est ce qui
a sûrement dû faire apprécier l'intrigue au critique que je suis. Il apprécie quand quelque chose censé être sérieux est traité tout en humour et légèreté. Et puis le fait que ça fasse avancer la
trame générale, ce n'est pas négligeable non plus. Jim, qui continue sa lutte contre le crime, soutenue par son ami George, même si ça devient un peu répétitif, c'était sympathique aussi. L'idée
de faire d'eux des "serial noceurs" pour leur traque des gangsters voleurs de bijoux (parmi lesquels, la bague de Stephanie) dans les soirée de mariages, c'était plutôt inspiré. Tout le délire
autour du mauvais danseur qu'est Jim, c'était du classique mais ça restait bon enfant et comique grâce à un Michael Chilkis et un Romany Malco qui s'y donnent à coeur joie.
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Ce qui
peut être regrettable, c'est qu'en se focalisant ainsi plus sur la comédie, on passe totalement à côté des consquences du meurtre choquant de la détective assignée à Jim. Peut-être la série
reviendra-t-elle dessus plus tard. En attendant, un peu de douceur dans ce monde de brutes, et pour ça, on peut toujours compter sur le duo Chiklis/Benz qui a toujours cette alchimie de dingue et
qui nous fait l'honneur d'une scène
so romantic sur le toit d'un restaurant. Là c'est le côté fleur bleue du revieweur qui parle. Les intrigues des ados, ça c'est qui a vraiment exaspéré
la partie de moi moins indulgente. Elle est d'accord, on est dans une série familial, mais quand on doit se coltiner un flirt gentillet sans débouché ou une crise identitaire exagérée, ça ne
passe pas. Si JJ et Daphné doivent utiliser leur pouvoirs au lycée, autant que ce soit de manière originale et que ça leur offre un véritable arc rien qu'à eux. Sinon,
zero
tolerance. Même si
Kay Panabaker fait un effort de jeu. Les
teenageries sont ce qui a de plus
boring pour le fan d'action en moi. Vous comprennez maintenant pourquoi il a
une dent contre la CW.
En conclusion, toutes mes excuses à ceux qui n'auraient pas apprécié mon léger trouble de la personnalité le temps de quelques lignes. Que
voulez-vous, j'ai un Delon qui sommeille en moi et qui a besoin de s'exprimer parfois. Oh et à part ça, l'épisode était pas excellent. Mais pas mauvais non plus.