Aujourd'hui, un grand groupe français de BTP, Vinci, avec la complicité active de la Chambre de commerce et d'industrie franco-russe et du gouvernement français, fait pression pour continuer coűte que coűte la construction d'une autoroute entre Moscou et Saint-Pétersbourg. A la clé de ce chantier de 1,8 milliard d'euros, une manne récurrente de prčs de 700 millions d'euros de péage par an pour le groupe de BTP semble aveugler les hommes d'affaires.
"Le gouvernement français détruit des chęnes centenaires."