Relance : Le bon usage

Lorsqu'on a répondu à une offre d'emploi ou envoyé une candidature spontanée, il peut s'avérer utile de relancer le recruteur, ne serait-ce que pour savoir, ce qu'il est advenu de notre candidature.
Les choses sont différentes si vous relancez après l'envoi de votre candidature ou après un entretien et selon que votre interlocuteur est un DRH ou un cabinet de recrutement.
Si vous avez à passer, par un cabinet de recrutement, il ne faut pas hésiter à relancer le consultant une semaine après l'envoi de sa candidature, par mail. Idéalement, trouvez un pretexte pour justifier votre relance, comme une nouvelle version de votre cv, une plus grande mobilité... Si vous avez eu un entretien, celui-ci n'ayant pas abouti, relancez le consultant. Ne serait-ce que pour savoir s'il estime qu'il aura de nouvelles opportunités prochainement. Et comme on va bientôt changer d'année, souhaiter les bons voeux aux recruteurs est bien vu...
Si l'interlocuteur de votre candidature est le DRH de la société, il vaut mieux éviter de relancer tout de suite. Vaut mieux être patient et attendre quelques semaines pour éventuellement relancer. Après un entretien, n'hésitez pas à relancer vore interlocuteur en rappelant votre motivation pour le poste. A l'issue de l'entretien, vous pouvez également demander au responsable dans quels déais vous pourrez le contacter pour connaitre sa réponse. Celà fait toujours bien.
Mais attention à ne pas tomber dans le harcèlement. Soit en appelant plusieurs fois par jour le recruteur, soit en cherchant le nom du client si son nom et volontairement caché par le cabinet de recrutement.