A l’aube les lycéens passent
rue des Remberges, une voix de fille
prononce les mots » Qu’en sais-tu ? la vie est… «
mais la voix se perd dans le brouhaha
d’autres voix qui s’élèvent ensemble
et s’éloignent vers la fontaine, moi
je reste à ma table, je pense
que jamais je n’apprendrai rien
(Jean-Claude Pirotte)