dans les cernes des gris et des blancs
circularité émiettée
par les années oubliées
toute fenêtre ouvre le chemin des yeux
chaque visée
à l’air neuf
s’offre
(Bernard Pozier)
dans les cernes des gris et des blancs
circularité émiettée
par les années oubliées
toute fenêtre ouvre le chemin des yeux
chaque visée
à l’air neuf
s’offre
(Bernard Pozier)