Macaron Ladurée ou l’alliance bling-chic

Pour les fêtes, programme chargé. Direction la France, passage par Paris et passage obligé chez Ladurée. Ma préférence à moi, même si Pierre Hermé, Gérard Mulot, Lenôtre, Carette et autres Dalloyau, se partagent aussi les faveurs des amateurs et caracolent dans le top 10 de la liste du meilleur macaron de Paris.
Sur les Champs Elysées, devant la vitrine, émerveillée : « pourquoi ça brille ? » me demande Lillifee. C’est bling-bling, my darling ! Cet hiver, le macaron, ce petit gâteau rond, joue les stars en « Rouge Diva » avec des parfums de chocolat, épices et fruits rouges. Il a revêtu son habit de lumière et s’enveloppe de feuilles d’or.
Petit déjeuner au salon de thé, entre les purs parisiens et les purs touristes puis une queue interminable à la pâtisserie pour acquérir l’inestimable trésor. C’est qu’on vient de loin pour ce joyau scintillant, ce biscuit glam des quartiers chics. Mais faisant fi de la poudre d’or et de la poudre aux yeux, je reste fidèle aux classiques : caramel au beurre salé, framboise, café et chocolat amer. 800 km plus tard, le précieux sac vert amande rejoindra Munich pour une séance dégustation…
Mon grain de sel
Avis à tous les fans de Philippe Andrieu, chef pâtissier chez Ladurée. Pour l’Epiphanie, ne manquez pas sa création 2008 : une galette garnie de frangipane aux parfums de pain d’épices
Mémo en V.O. : pâtisserie – die Konditorei