"Ma version des faits s'est quelque peu substituée à celle de mon père. Miette à miette, je me suis approprié les contours d'une narration qu'il avait laissés flous."
Une version que l'auteur "revendique", nourrissant d'un va-et-vient les évenements historiques, leur interprétation et son destin personnels.
Un hommage posthume à son père.
Des gifles au vinaigre, Tony Cartano, roman, Albin Michel, août 2010, 260 pp, 19 €