Vu sur Le Monde.fr :
" Une douzaine de signataires, réunis par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique, ont adopté, mercredi 13 octobre à Paris, une charte consacrée au droit à l'oubli numérique. "Il ne faut pas diaboliser Internet, il y a de nombreux contenus mis en ligne que nous voulons garder, mais dans certains cas, nous aimerions pouvoir les effacer", souligne la secrétaire d'Etat, qui avait lancé cette initiative en novembre 2009.
Avec cette charte, les représentants de sites collaboratifs et de moteurs de recherche s'engagent à mettre en place de nouveaux dispositifs afin de garantir la protection des données privées des internautes. Pour les réseaux sociaux, il s'agit essentiellement de créer un "bureau des réclamations" virtuel qui permette de centraliser les demandes de modification ou de suppression d'un compte.
Les
moteurs de recherche devraient, quant à eux, supprimer plus rapidement
le cache des pages indexées, notamment quand les contenus supprimés
figuraient sur les réseaux sociaux. Une manière de faire disparaître
les résultats des moteurs de recherche qui pourraient nuire à
l'"e-réputation" de l'internaute."
Deux géants étaient pourtant absents : Google et Facebook !
A voir :
La charte
Power Point de présentation de la charte du Droit à l'oubli