L'orthographe du titre de ce blog ("gyrocarnets"), aussi ardue qu'absconse, fera j'espère d'une pierre deux coups: en éloignant les parkinsoniens, les Alzheimer ainsi que ceux qui sont plus férus du litron que du Littré, tout en ménageant un flou artistique qui me permettra de traiter de tout et de n'importe quoi.
Des gyrocarnets peuvent référer, sans souci d'exhaustivitivité (comme on dit poliment):
- au mouvement de rotation du carnet qui tombe de la table à la manière de la tartine de confiture à la rhubarbe quand on l'a bousculée d'un geste maladroit,
- au périple du voyageur qui circule d'une étape à l'autre et prend du bon temps en calypsettes avant de retourner pénard chez Pénélope,
- aux interrogations circulaires qui fondent le dialogue des cultures, ainsi qu'aux circulations interrogatoires qui fondent la culture du dialogue, et réciproquement.
C'est...