Alain Juppé ou Alain Rousset ?
Pour la liberté d’expression, Alain Juppé sans réserve. Même le franc-nobson Caquedrole est d’accord.
Elle s’appelle Aurélie Boullet, et Alain Rousset l’a mise au chômage sans aucune indemnité pendant 4 mois.
Pour un livre : "Absolument dé-bor-dée ! — Comment faire les 35 heures en … un mois !"
Parce que ses collègues « se sont sentis injuriés et diffamés ». Vous avez bien lu : il n’ont pas été injuriés et diffamés, mais ils se sont sentis. C’est pervers, comment se défendre contre ça : le sentiment de ses collègues, c’est comme une rumeur. Une amende de 4 mois de salaires comme condamnation sur un sentiment des collègues. C’est même pas une intime conviction, mais un sentiment.
Même Philippe Bilger le dit :
"Il faut défendre Aurélie Boullet"
Remarquez qu’au tribunal appelé conseil de discipline, ce sont les victimes du pamphlet qui siégeaient en tant que juges, et une des victime, Jean-Luc Mercadié, qui le présidait.
C’est la justice sereine et impartiale à la sauce PS.
Alain Rousset chez les soviets — Pas touche à mes fonctionnaires — ce sera peut-être le titre et le sous-titre du prochain livre d’Aurélie Boullet. Non c’est méchant pour les soviets qui ne le méritent pas, plutôt Alain Rousset chez les colonels grecs (je ne précise pas les dates du voyage d’initiation pour éviter d’être poursuivi pour un sentiment d’injure et de diffamation).
Je vous laisse pour aller rédiger ma lettre de candidature au Conseil Régional d’Aquitaine. Il paraît en effet que le poste vacant libéré par Aurélie Boullet est pénard, et bien payé pour seulement 35 heures par mois.
Mais qui donc est le dindon ?