J'affronte la corvée du sommeille,
Angoissé par ma conscience.
Car sur mes rêves, elle veille,
Mes faiblesses, elle s'en balance.
J'ai peur de fermer l'oeil.
Aspirant aux contredits
De mon imaginaire en deuil
Et mon esprit démunit.
Le tombeau de ma réalité,
Fait place à l'éveil céleste.
Mes songes sont remplacés,
Par un idéal peu modeste.
Il est la et je suis.
Et en se lieux, rien ne si oppose.
Cet homme est ma flamme de vie,
Partageant son amour en proses.
…
Mais jamais cette fable ne survie
Car les rayons du jour épuisent Morphée
Laissez à moi-même, seule dans mon utopie
Réalisant que la nuit n'avait été que fausseté