Une gestuel lourde,
se fond dans la pénombre,
sous les feux d'une rampe,
à boire à la meme gourde,
Damné à force d'y croire,,
Nourie aux flasques illusoir,
abreuvé par un nectar limpide,
Un filtre d'amour translucide,
Bien vitte égaré dans un mouchoir..
Les funestes antitées du déboir,
s'accroche aux fenétres délabrés,
Range les envies aux placard,
Poussant le pentin vers l'abbatoir...
La haine d'un frisson pénétre la moele,
Enfermé dans un caveau sentimental,
L'organe rouge vif pourri sous la déchéance,
Mon poitrail s'ameunuise à chaque nuitée,
Adieu l'errance sous tes jupons l'arrogance,
l'ultime étincelle quitte mes veines oxydées,
Je m'affranchi à notre derniére danse,
Affaler à tes pieds,j'attend la délivrance...