Tout de même, Karkwa a livré une solide performance. C’est un groupe aguerri dont les qualités surpassent la brute énergie de leur jeunesse. Leur musique n’est pas un cri primal et primaire pour exprimer les misères de Sisyphe. Les pièces se déroulent tout en nuances. On sent que le vécu passe par la gamme de tous les sentiments. Bref, le groupe a atteint une maturité qui emploie toutes les flèches du carquois de la vie....
Extrait de l'article de Paul Proulx le 3 octobre 2010, Voir.ca