
Au passage, le genre de lapsus qu'on ne reprocherait pas à un homme. Il me reste des points ? Je mets trois petits points...
La "Bravitude" qu'on a reprochée à Ségolène Royale, alors que dans le même temps Nicolas Sarkozy multipliait les fautes de français, le parler moche, le parler beauf, le parler con, espérant en faire du parler vrai et du parler peuple...
Lue, dans le Figaro et ailleurs, Christine Lagarde, qui nous rassure et nous assure que tout va bien en France. Notamment la croissance, la dette, le taux de chômage. On a le choix dans la dette mais quand même, pour cette mauvaise contrepèterie, j'eus aimé avoir des parenthèses, ou au moins quelques tirets.
Ce que femme veut, Dieu le veut. Malgré l'entrée en vigueur de la loi sur la Burqua, qui a donné lieu à un papier tarabiscoté mais assez bien foutu dans le Jir, avec interview d'un flic embêté par l'application de cette loi dans l'île de la Réunion, terre de tolérance religieuse, et terre profondémment républicaine.
Et Nassimah, qui est loin d'être politiquement irréprochable, ne lui a reproche t on pas, désolé pas de tirets ni de parenthèses, d'être d'abord une femme ?
Ce n'est pas une excuse. Le féminin de con c'est conne. La femme n'est l'avenir de rien, sinon d'elle même, sorry, manque toujours des tirets.
Reste le cas de Marie Luce Penchard. Le fait d'être une femme ne l'empêche pas d'etre particulièrement nulle. Ce n'est pas une question de sexe, en l'occurrence. Juste de compétence.
Ah, le lien entre tout ça ? Pardon, j'ai juste raté la journée de la femme, l'an dernier.
François GILLET