Les Silly Bandz - et autres marques de Bands de moindre qualité - ont conquis le coeur des enfants, filles et garçons, qui se les échangent et paradent avec leurs trophées au poignet. En l'occurrence, un élastique de couleur, qui, ôté du bras, reprend sa forme d'origine : nombre, animal, mot, personnage…
Selon le magazine Les Echos, « un million de Silly Bandz se vendent chaque semaine. On a même aperçu l'objet sur les poignets délicats d'égéries de la mode, comme Sarah Jessica Parker et Mary-Kate Olsen ».
Derrière le Silly Bandz, un inventeur : Robert Croack, âgé de quarante-sept ans. Pour l'instant, ses bracelets en silicone à mémoire de forme sont encore un phénomène très côte Est et Midwest, mais Robert s'apprête à envahir la côte Ouest… et le reste du monde avec un succès croissant. Le Silly Bandz est arrivé cet été en Grande-Bretagne et sera dans toutes les boutiques de curiosités sous huitaine.
Chez Zigouzis, les Silly Bandz arrivent dans quelques jours et rivaliseront de succès avec les gommes japonaises Iwako .