Meudon 23/4/55,
«[…] Ce qu’il m’a semblé à propos de TSF. c’est qu’elle n’était pas au point, à savoir qu’il est grotesque d’espérer que le bonhomme va se conformer aux exigences de la machine c’est à la machine, putain de foutre sort, à se rendre esclave absolue du mec ! D’où d’ailleurs ce ton sempiternel abominable des émissions ! le micro commande ! le micro pense ! cent mille fois idiot ! […]»
Céline, Lettres à Albert Paraz, 1947-1957, Nouvelle édition, p.468-469, ©Gallimard 2009.
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