Déambuler dans une immense cité, ça dépayse, quand on vit depuis trois ans sous la tente. Puis, Londres, avec ses serveurs gentils (contrairement à ceux de l'Hexagone), sa bière pas chère et savoureuse et son humour épidémique (jusqu'aux contrôleurs du métro, fin et marrants), ça fait du bien. Au bout de deux jours je saignais du nez, par contre. Pire que Paris, l'air en rase-motte, tout gluant et collant, qui se vautre des marécages aux trous de nez. Je ne peux plus. Pollutions, moisissures, toxicités, on dirait bien que les grandes villes, c'est fini pour moi.© Éric McComber
Déambuler dans une immense cité, ça dépayse, quand on vit depuis trois ans sous la tente. Puis, Londres, avec ses serveurs gentils (contrairement à ceux de l'Hexagone), sa bière pas chère et savoureuse et son humour épidémique (jusqu'aux contrôleurs du métro, fin et marrants), ça fait du bien. Au bout de deux jours je saignais du nez, par contre. Pire que Paris, l'air en rase-motte, tout gluant et collant, qui se vautre des marécages aux trous de nez. Je ne peux plus. Pollutions, moisissures, toxicités, on dirait bien que les grandes villes, c'est fini pour moi.© Éric McComber